ETSI LA MORT N'EXISTAIT PAS? 1/2. Où en est la science sur cette question fondamentale? Témoignages, expériences, avis Faites vous votre opinion!! Mots clés : expériencedemortimminente, coma, sortiedecorps, âme, conscience, medium, Vidéo ajoutée le 16/01/19 42. Ajouter 1 merci. MERCI pour votre gratitude ! 1 . Envoyer cette vidéo à un ami. Regarder maintenant NoteGenresMystère & Thriller , Action & Aventure , Documentaire Réalisateur Casting RésuméDepuis toujours a grande question de l’Être humain a été de savoir s’il existe une vie après la mort. Mais où en est la science sur cette question ? Qui de mieux pour répondre à cette question que les scientifiques ? Plusieurs d’entre eux ont étudié les EMI, les expériences de Mort Imminente, mais aussi des personnes capable de sortir de leur corps. Quels sont les résultats de ces études ? La conscience est-elle indépendante de notre cerveau ? Notre conscience peut-elle continue rà exister après la mort ? Et si la mort n’existait pas ? Ce film de Valérie Seguin présente les études scientifiques et les différents phénomènes observés autour de la mort EMI, décorporations, contacts avec les défunts, visions des mourants, … et réunit pour la première fois un grand nombre de scientifiques réputés sur ce sujetOù regarder Et si la mort n’existait pas ? en streaming complet et légal ?En ce moment, vous pouvez regarder "Et si la mort n’existait pas ?" en streaming sur Universcine Amazon Channel. Prochains films populaires Prochains films de Mystère & Thriller Etsi la mort n'existait pas (Partie 1 et 2) ET SI LA MORT N'ETAIT QU'UN PASSAGE. Réalisation: Valérie Seguin et Dominic Bachy Présentation : Aurélie Godefroy – Narration : François-Eric Gendron Ce film présente les études scientifiques et les différents phénomènes observés autour de la mort (EMI, décorporations, contacts avec les défunts, visions des
Pour beaucoup la mort est la fin de la vie. Pourtant un chercheur en biotechnologie américain théorise aujourd’hui que la mort n’existe la mort n’existe pas ?Le Dr Robert Lanza est à l’origine de la théorie du biocentrisme, définie comme une nouvelle théorie de l’univers. Pour lui, la conscience humaine crée l’univers et l’observateur détermine la réalité. L’espace et le temps sont donc perçus différemment selon les la vie qui est le point central de la réalité et du cosmos. Le Dr Robert Lanza affirme donc que si l’espace et le temps n’existe pas, la mort n’est pas une fin. À la mort physique, l’énergie de la conscience ne s’éteint pas et passe dans un univers parallèle, car la vie est compte sur la physique quantique pour mettre en évidence les particules qui se déplacent dans le champ de la conscience. Elles sont le lien entre mort et les univers parallèles. Rappelons que la physique s’occupe de l’infiniment petit et repose sur les probabilités et non la universPour résumer très schématiquement, une particule peut se trouver à deux endroits en même temps . Comme nous sommes constitués de ce cas, ne pourrions-nous pas être à deux endroits en même temps ou dans un nombre infini d’univers parallèles ?La mort n’est pas une finQue la mort n’existe pas ou qu’elle existe, cette théorie prend la forme d’un questionnement ésotérique. Elle cherche à relier la science et la spiritualité, qui campe chacune sur ses positions. En attendant la preuve scientifique, on peut mettre tout le d’accord avec la définition de la son entretien nommé L’acceptation de soi », Franck Lopvet se définit comme un clairvoyant. Il découvre cette capacité à 18 ans, en faisant du porte-à-porte pour payer ses études. Il comprend alors qu’il a la capacité de se connecter à la structure énergétique de chacun de ses clients. En se reliant avec celle-ci, son corps reçoit les informations contenues dans la matière et le vide qui composent échos renvoyés dans l’ vivons dans un monde vibratoire fait de fréquences et d’énergie qui forme un champ électromagnétique ou une aura autour de tout être vivant ou de tout objet de la planète Terre. Chaque fréquence émise est un ordre donné à l’univers de créer une situation qui nous permet de vivre cette fréquence. Quand la structure énergétique bouge grâce à une nouvelle expérience, c’est la vie qui bouge. En croyant à la structure ou à la sphère énergétique, il a longtemps cherché une validation auprès des autres avant d’assumer son propre système de croyances, notamment en affirmant que la mort n’est pas une fin. D’ailleurs, Einstein n’a attendu après personne pour établir la théorie de la relativité. En résumé, vivre c’est émettre des vibrations et générer un champ électromagnétique et de l’énergie. Ces émissions transforment le relatif dans lequel vous vivez. Ce dernier est un relatif où vous percevez les objets par rapport à leur exemple, si vous vivez dans un monde blanc, vous ne saurez qu’il est blanc que s’il y a du vivons dans une illusionNous prenons conscience de notre vie en même temps que nous prenons conscience de la mort qui vient la limiter. Parce que la règle sur cette planète est simple vous expérimentez vos croyances, et vous construisez votre réalité, autrement dit votre .En fait, la question est de savoir que la mort n’est pas une fin. Franck Lopvet avance que nous sommes des entités divines anciennes ou avancées capables de maîtriser les théories génétiques. Nous avons juste oublié que nous sommes les créateurs de la réalité que nous expérimentons vie est un jeu !Dans des temps reculés, nous avons investi la Terre pour expérimenter un relatif. Nous avons créé des sphères de vie à l’image de cette planète. Après avoir créé et investi des corps physiques, qui nous ont servi de véhicules pour arriver. Et, nous avons commencé à avons créé des personnages dans lesquels nous avons instillé la peur de mourir juste pour qu’il reste en vie et que le jeu continue. À chaque fois qu’un personnage meurt, le jeu repart à zéro et il faut en recréer un nouveau. La règle du jeu consiste à jouer à la vie, mais en oubliant que nous en sommes les peur de mourirCes entités continuent à observer le jeu dans lequel nous sommes engagés depuis des millénaires en pensant que la mort n’existe pas. Le jeu va si loin que nous sommes persuadés que nous nous résumons à notre corps et que la mort n’est qu’une fin. Nous avons même peur de mourir alors que nous sommes en quelques sortes des dieux créateurs et que la mort n’est qu’une mort n’est qu’une illusion. En réalité, nous sommes constitués d’une partie invisible et cette part de nous est éternelle, car elle ne subit pas l’influence de l’espace . Nous ne perdons que notre corps physique qui lui y est soumis. Alors, profitons du jeu, et vivons notre vie, c’est aussi simple que cela !On peut choisir entre l’ombre ou la plus, que nous disposons de l’aide des anges qui sont à notre service et qui se chargent de nous aimer et nous sauver. Ils sont l’intermédiaire entre les entités et les humains. Ces entités ne se sont pas incarnées dans la matière, elles ont fait le choix de l’amour en étant du côté de Dieu. Alors que nous humains, nous sommes autonomes et disposons de notre libre pouvons choisir entre Dieu et diable, l’ombre et la lumière ou encore l’amour et la vie, la mort et les univers parallèles !En tant que créateurs, nous pouvons polariser notre pensée pour créer de la matière, une multitude de corps dans le mutivers en simultané. Cela nous permet de vivre des expériences de vie indépendantes les unes des autres pour recueillir des informations qui vont aider nos diverses mort et mondes parallèle sont des notions indissociables. Ces expériences se déroulent à la fois il y a 2 000 ans ou dans 2 000 ans. Le partage de l’information se fait pendant le sommeil, à travers les rêves. Une pensée à nos amis Arnaud et Romain Gorlier, Candice et Jackson qui sont partis trop vite dans un autre monde et à mes proches disparus…
\n et si la mort n existait pas
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Il y a depuis toujours des personnes qui disent communiquer avec l'au-delà et d'autres qui n'y croient pas du tout et l'assimilent à du charlatanisme. Victor Hugo participait à des soirées où l'on invoquait les défunts et, au xixe siècle, le spiritisme était fort prisé. Les médiums, qui communiquent avec les esprits des défunts, sont de plus en plus populaires. Mais il faut sans doute faire un peu le tri et cela reste encore assez tabou. Vous devriez vous rapprocher d'un professionnel dans ce domaine pour exposer ce que vous voyez et entendez, car, souvent, les personnes qui ont ce type d'aptitudes racontent qu'elles sont restées longtemps isolées ou se sont trouvées un peu étranges. Regardez le film de Valérie Seguin Et si la mort n'existait pas ?, qui vous mettra sur la voie de votre propre exploration et vous permettra aussi d'identifier les personnes à contacter pour en discuter. Issue du monde de la finance, Valérie Seguin n'a aucun don paranormal, mais, à la mort de son père, en 2014, elle a reçu des signes de sa part et, depuis ce jour, elle cherche à éveiller nos consciences à ce sujet en allant recueillir la parole des scientifiques. Parlez-en aussi à vos parents ou à toute personne qui vous paraîtra ouverte et bienveillante sur ce sujet et qui ne sera pas tentée de vous juger.
EXCLUSIF LA CHAINE AMÉRICAINE, MSNBC ANNONCE UN JOUR AVANT LE GAGNANT D 1 . Un Traître ''Haut Gradé'' de Gendarmerie Appelé à la Rescousse des Élite 1 . Magouilles d'état. 1 . DOC CENSURE 11 septembre/2001 " Le Complot" COMPLET. 1 . Youtube supprime les j'aime pour empêcher que cette vidéo soit vue. Part 1 . URGENT :Vous ne toucherez plus vos retraites.
Publié le 24 nov. 2018 à 1400Mis à jour le 30 nov. 2018 à 1720C'est la grande, la fatidique question que se passe-t-il dans notre cerveau - et donc dans notre esprit, dans notre conscience - à la minute de notre mort ? La réponse, jusqu'ici, paraissait hors d'atteinte de l'investigation scientifique personne n'est jamais revenu de l'autre rive pour témoigner de ce qu'il avait vu et ressenti au moment de passer de vie à il y a bien ces récits troublants recueillis sur les lèvres de celles et ceux qui ont frôlé la mort de près. Regroupés sous l'appellation d' expériences de mort imminente » EMI, ils sont pris très au sérieux par une partie de la communauté des neuroscientifiques qui les répertorie et les décortique, comme le fait l'équipe du Coma Science Group à l'université de Liège lire ci-dessous.Mais, par définition, les survivants dont l'expérience a été reconnue comme authentique EMI après évaluation sur l'échelle de Greyson du nom du psychiatre américain Bruce Greyson, qui l'a proposée en 1983 ont échappé à la mort. Ils n'en ont vu que l'ombre. La mort elle-même et ce qu'elle provoque dans le cerveau du mourant demeurent entièrement nimbés de mystère. Du moins était-ce le cas jusqu'à cette année…Dans une étude publiée par la revue Annals of Neurology » qui a fait sensation - mais que la presse française a peu relayée, à l'exception du magazine Science et Vie » -, le professeur en neurologie expérimentale à l'université Charité de Berlin, Jens Dreier, détaille l'expérience extraordinaire à laquelle son équipe et lui se sont livrés sur neuf patients. Ces neuf personnes, toutes entrées en soins intensifs à la suite de blessures cérébrales, faisaient l'objet d'un monitorage neurologique lourd, plus invasif qu'un simple électroencéphalogramme. Il s'agit d'une technique non conventionnelle, qui permet d'enregistrer l'activité électrique du cerveau, y compris à de très basses fréquences, de l'ordre de 0,01 hertz », explique Stéphane Marinesco, responsable du Centre de recherche en neurosciences de Lyon. Les basses fréquences émises par le cerveau ont du mal à traverser le scalp, ce qui les rend indétectables aux appareils d'électroencéphalogramme dont les électrodes sont placées sur le cuir chevelu. Dans le système de monitorage dont étaient équipés les patients du service du Pr Dreier, les électrodes étaient placées à l'intérieur du crâne, et même sous la dure-mère, cette membrane rigide qui entoure le cerveau et la moelle accès aux très basses fréquences, correspondant à une activité électrique lente, a été la fenêtre qui a permis à Jens Dreier et son équipe de visualiser ce qui se passait dans le cerveau de personnes en train de mourir. Pour leur expérience, les neuroscientifiques allemands ont simplement demandé aux familles, une fois devenu évident que le patient ne survivrait pas à son accident, l'autorisation de poursuivre l'enregistrement jusqu'au bout. Et même un peu au-delà du bout », c'est-à-dire de la mort cérébrale, ce moment à partir duquel un classique électroencéphalogramme n'enregistre plus aucune activité cérébrale et que l'Organisation mondiale de la santé considère comme le critère médico-légal du de dépolarisationQu'ont montré les enregistrements réalisés à la Charité de Berlin ? Quelque chose de tout à fait fascinant, jusque-là inédit, et qui devrait peut-être amener les spécialistes à reconsidérer leur définition du décès et de son moment exact. Ce phénomène cérébral, indique l'étude, survient entre 2 et 5 minutes après l'ischémie, moment où les organes dont le cerveau ne sont plus alimentés en sang et donc en oxygène. Et il dure lui-même une petite dizaine de minutes. On peut l'assimiler à une sorte d'incendie électrique qui s'allume à un bout du cerveau et, de là, se propage à la vitesse de 50 microns par seconde dans tout l'encéphale avant de s'éteindre à l'autre bout, son oeuvre de destruction accomplie. Les neuroscientifiques parlent de vague de dépolarisation ».Pour maintenir le potentiel de membrane » qui lui permet de communiquer avec ses voisins sous forme d'influx nerveux lire ci-contre, un neurone a besoin d'énergie. Et donc d'être irrigué en permanence par le sang venu des artères qui lui apporte l'oxygène indispensable à la production de cette énergie sous forme d'adénosine triphosphate ATP. Tout le travail de Jens Dreier a consisté à observer ce qui se passait pour les neurones une fois que, le coeur ayant cessé de battre et la pression artérielle étant tombée à zéro, ils n'étaient plus alimentés en oxygène. L'étude a montré que les neurones se mettaient alors en mode 'économie d'énergie' », commente Stéphane Marinesco. Pendant les 2 à 5 minutes séparant l'ischémie de l'apparition de la vague de dépolarisation, ils puisent dans leurs réserves d'ATP pour maintenir leur potentiel de membrane. Pendant cette phase intermédiaire, au cours de laquelle le cerveau est littéralement entre la vie et la mort, celui-ci ne subit encore aucune lésion irréversible si l'apport en oxygène venait à être rétabli, il pourrait se remettre à fonctionner sans dommages en chaîneMais cette résistance héroïque des cellules nerveuses a ses limites. A un moment donné, en l'un ou l'autre endroit du cerveau, un premier neurone craque », c'est-à-dire qu'il dépolarise. Les stocks de potassium qui lui permettaient de maintenir son potentiel de membrane étant devenus inutiles, il les largue dans le milieu extra-cellulaire. Il agit de même avec ses stocks de glutamate, le principal neurotransmetteur excitateur du ce faisant, ce premier neurone initie une redoutable réaction en chaîne le potassium et le glutamate par lui libérés atteignent un neurone voisin dont ils provoquent aussitôt la dépolarisation ; à son tour, ce deuxième neurone relâche ses stocks et provoque la dépolarisation d'un troisième, etc. Ainsi apparaît et se propage la vague de dépolarisation, correspondant à l'activité électrique lente enregistrée par le système de monitorage spécifique utilisé à la Charité de Berlin. Le bouquet final » du cerveau sur le point de s'éteindre est d'autres circonstances de la vie où l'on observe des vagues de dépolarisation, un peu différentes en ceci qu'elles ne sont pas, comme ici, irréversibles. C'est notamment le cas dans les migraines avec aura, naguère appelées migraines ophtalmiques, car elles s'accompagnent de symptômes visuels qui peuvent être de simples distorsions du champ visuel, mais aussi, parfois, l'apparition de taches lumineuses, voire de véritables hallucinations assez similaires à celles rapportées dans les final du cerveau mis en lumière par l'expérience de Jens Dreier est-il à l'origine de l'apparition de cette intense lumière blanche que les personnes ayant fait une expérience de mort imminente disent avoir vue briller au bout d'un mystérieux tunnel ? Cela, l'étude ne le dit pas. Mais l'hypothèse ne paraît pas mystère des expériences de mort imminenteA l'université de Liège, l'équipe du Coma Science Group a constitué une base de données de plus de récits d'expériences de mort imminente EMI. Sur ce corpus, elle en a passé au crible 154. Cette étude qualitative publiée l'an dernier révélait que presque aucun récit ne ressemblait à un autre sur le plan de la chronologie des événements, même si des composantes communes existent bien. La plus récurrente est la sensation de bien-être et de paix présente dans 80 % des récits d'EMI, devant la perception d'une lumière brillante 69 %, la rencontre avec des défunts ou des êtres mystiques 64 % et le sentiment de décorporation 53 %.Il y a seize ans, un neuroscientifique suisse avait déclenché involontairement, chez une patiente épileptique, une telle illusion de sortie du corps en stimulant le gyrus angulaire de sa jonction temporo-pariétale droite. La vague de dépolarisation qui, au seuil de la mort, vient exciter une ultime fois tout l'encéphale - y compris cette zone bien précise - est-elle à l'origine des expériences de décorporation rapportées dans les EMI ?Le fonctionnement électrochimique du neuroneDans tout neurone vivant, il existe une différence de potentiel électrique entre les faces externe et interne de sa différence de potentiel, appelée potentiel de membrane, est due à la présence, sur la face externe, d'espèces chimiques chargées positivement et, sur la face interne, d'espèces chimiques chargées négativement. Ces espèces chimiques sont des ions, principalement des ions de circulation des ions de potassium de part et d'autre de la membrane du neurone, via les canaux ioniques, permet de faire fluctuer la valeur du potentiel de ce potentiel de membrane passe d'une valeur négative, dite de repos », à une valeur positive, correspondant à un état d'excitation, on dit que ce neurone mécanisme électrochimique est ce qui permet aux neurones de communiquer avec leurs voisins sous forme d'influx nerveux.
Cesanimaux n'ont jamais existé et n'existent pas dans la vie réelle, ou, tout du moins, ils n'existent pas avec les caractéristiques susmentionnées. Les dragons sont le produit de narrations mythologiques qui forment partie de traditions millénaires, mais, pourquoi les dragons n'ont-ils jamais existé ? Eh bien, il serait facilement possible d'affirmer que si un

Pour élever notre vie, nous devrions développer une compréhension correcte de la question essentielle de la vie et de la mort, et une conscience aiguë de l’importance considérable de la mort, plutôt que d’essayer d’en ignorer le caractère savons tous que nous mourrons un jour. Mais nous nous accrochons à l’idée que ce sera un jour », en espérant que cela arrivera le plus tard possible, dans l’avenir. Les jeunes, bien entendu, cherchent à écarter la pensée de la mort, mais c’est également vrai des personnes âgées, et cela devient peut-être même de plus en plus vrai à mesure que nous avançons en la réalité de la vie est qu’elle peut cesser à tout instant. L’éventualité de la mort est toujours présente – qu’elle vienne d’un tremblement de terre, d’un accident ou d’une maladie soudaine. Nous choisissons simplement de l’ l’a fait remarquer un jour quelqu’un La mort ne nous attend pas en se plaçant devant nous ; elle s’approche de nous par derrière. »Pendant que nous continuons à tout remettre au lendemain, en nous disant, plus tard, je me lancerai un plus grand défi », ou je déploierai davantage d’efforts quand j’aurai terminé cette tâche », notre vie s’écoule et, avant même de nous en rendre compte, nous nous retrouvons face à la mort, sans avoir rien accompli, sans avoir accumulé de véritables et profonds trésors intérieurs en cette vie. De nombreuses personnes vivent de cette manière. Quand vient le dernier instant, il est trop tard pour éprouver des y réfléchissant, que la mort survienne dans trois jours, trois ans, ou dans trente ans, le problème reste fondamentalement le même. C’est pourquoi il est si important de vivre pleinement en ce moment même, de manière que, au moment de notre mort, nous n’ayons aucun regret. Du point de vue de l’éternité, même cent années équivalent à un seul instant. Il est tout à fait vrai, comme le dit Nichiren, que maintenant est le dernier instant de sa vie ». Écrits, 217 Le président Toda a dit aussi En réalité, le but de notre pratique bouddhique est de préparer notre mort. »Rien n’est plus certain que la mort. Le plus important est donc que, dès aujourd’hui, nous nous lancions dans la tâche consistant à accumuler les trésors du cœur », qui dureront pour l’éternité. Cependant, la plupart des gens négligent cette tâche, qui est la plus essentielle, ou la reportent à une date n’est plus important que ce que le bouddhisme appelle la grande et unique question de la vie et de la mort ». Comparé avec cette question essentielle, tout le reste est d’importance mineure – c’est là un fait qui devient parfaitement clair au moment de la personne qui a été au chevet de nombreux patients en phase terminale a dit Au cours de leurs derniers jours, il semble que les gens se remémorent souvent le cours de leur vie, comme s’ils regardaient un vaste panorama. Ce qui paraît ressortir alors n’est pas le fait d’avoir dirigé une entreprise ou d’avoir réussi en affaires, mais plutôt comment ils ont mené leur vie, qui ils ont aimé, envers qui ils ont fait preuve de bonté, et à qui ils ont fait du mal. Ce sont toutes les émotions les plus profondes – le sentiment d’avoir été fidèle à ses convictions et d’avoir mené une vie comblée, ou le regret douloureux d’avoir trahi les autres – qui les envahissent à l’approche de la mort. »Avoir conscience de la mort donne un sens plus profond à notre vie. S’éveiller à la réalité de la mort nous incite à rechercher l’éternel et nous motive pour tirer le maximum de chaque instant. Et si la mort n’existait pas ? Alors, la vie se poursuivrait indéfiniment et deviendrait probablement douloureuse et pénible. La mort nous fait chérir le présent. On dit que la civilisation moderne ignore ou dénie la mort. Ce n’est pas une coïncidence si cette civilisation est aussi caractérisée par une quête des désirs effrénée. Une société ou une civilisation, aussi bien qu’un être humain, qui tente d’éviter la question fondamentale de la vie et de la mort décline spirituellement en échouant à aller au-delà d’une vie au jour le jour. D’après La Sagesse du Sûtra du Lotus, vol. 4, publié en japonais en décembre 1998

Etsi la mort n'était pas une fin, mais un passage vers un nouvel état. Une vie après la vie. Rencontre avec ceux qui affirment avoir vécu une expérience de mort imminente. Bouleversés, troublés, ces "thanatonautes" sont revenus de leur voyage dans l'au-delà complètement transformés et sans peur de la mort. Ils témoignent
Pourquoi le péché et la mort ? Supposez que quelqu’un s’approche de vous pour vous dire “Vous, les chrétiens, vous dites que nous avons besoin de Jésus-Christ et que nous devons confesser nos péchés. Mais, qu’est-ce que le péché? Au fait, pourquoi avons-nous besoin de Christ ? De toute façon, Dieu ne peut pas être ce qu’Il dit être. S’Il est un Dieu d’amour, comme vous le dites, pourquoi permet-Il la mort et toute la souffrance dans le monde ?” L’Evangile, le péché et la mort Quel est le message de l’Evangile? Lorsque Dieu créa l’homme, Il le fit parfait. Il a créé les deux premiers êtres humains, Adam et Eve, et les a placés dans le jardin d’Eden où ils jouissaient d’une belle relation privilégiée avec Dieu. Lorsqu’Il les a créés, Il les a placés devant un choix. Il voulait leur amour, non par une réponse programmée mais par un acte raisonné. Le premier couple a choisi de se rebeller contre Dieu. Cette rébellion est appelée le péché. Tout péché se place sous la bannière de la rébellion contre Dieu et Sa volonté. Cette rébellion en Eden a eu plusieurs conséquences. D’abord, l’homme s’est éloigné de Dieu. Cette séparation est appelée la mort spirituelle. L’effet de cette mort spirituelle était de vivre pour toujours dans son corps de péché, séparé éternellement d'avec Dieu. Imaginez vivre avec Hitler et Staline pour toujours! Imaginez vivre dans un état de péché incorrigible pour l’éternité. Mais il y a eu un autre effet. Romains 5 12 nous dit “ . . . par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort . . . ”. Il ne s’agit pas seulement de la mort spirituelle, comme certains théologiens aiment à le dire, mais aussi de la mort physique. Pour confirmer ceci, il suffit de lire I Corinthiens 15 20, où Paul parle de la mort physique du premier Adam et de la mort physique de Christ, le dernier Adam. Lisez Genèse 3, où Dieu a renvoyé Adam et Eve du jardin, les empêchant de manger de l’Arbre de la Vie, pour qu’ils ne vivent pas éternellement. La mort physique, aussi bien que la mort spirituelle, sont le résultat de leur péché. Pourquoi Dieu a-t-Il envoyé la mort ? Considérons attentivement trois aspects de la mort. Dieu, en tant que Juge juste, ne peut regarder le péché. A cause de Sa nature même et de l’avertissement qu’Il a donné à Adam, Dieu devait juger le péché. Il avait averti Adam que, par rapport à l’arbre de la connaissance du bien et du mal, “ . . . le jour où tu en mangeras tu mourras”. La malédiction de la mort, qui fut placée sur le monde, était et demeure un jugement juste et approprié de la part de Dieu qui est le Juge. Un des aspects de la rébellion de l’homme a été la séparation d’avec Dieu. Ceux qui perdent un être cher par la mort connaissent la tristesse de la séparation. La tristesse, suite au décès d’un bien-aimé, devrait nous rappeler les terribles conséquences du péché qui a séparé Adam de la relation parfaite qu’il avait avec Dieu. Cette séparation a englobé toute l’humanité car Adam a péché en tant que représentant de tous. Un autre aspect de cette question, qui échappe à tant de gens, est que Dieu envoya la mort parce qu’Il nous aimait. Dieu est amour et, aussi étrange que cela puisse paraître, nous devrions Le louer pour la malédiction qu’Il a placée sur nous. Ce n’était pas la volonté de Dieu que l’humanité s’éloignât de Lui pour l’éternité. Imaginez vivre dans un état de péché pour l’éternité, séparé de Dieu. Mais Il nous a trop aimés pour cela et Il a fait une chose merveilleuse. En plaçant sur nous la malédiction de la mort physique, Il a pourvu à un moyen de racheter l’homme pour Lui-même. En la personne de Jésus Christ, Il a souffert cette malédiction sur la croix pour nous. “Il souffrît la mort pour tous” Hébreux 29. En devenant Lui-même le sacrifice parfait pour notre péché de rébellion, Il a vaincu la mort. Il a pris la pénalité que nous méritions de la part d’un juste Juge et l’a portée en Son propre corps sur la croix. Tous ceux qui croient en Jésus-Christ comme Seigneur et Sauveur sont reçus par Dieu pour vivre l’éternité avec Lui. N’est-ce pas un merveilleux message ? C’est le message du christianisme. L’homme a perdu sa position privilégiée à cause du péché, avec le résultat que Dieu a placé sur lui la malédiction de la mort afin qu’il puisse être racheté pour Dieu. Quel acte merveilleux fut accompli par Dieu! Chaque fois que nous prenons le repas du Seigneur, nous nous souvenons de la mort de Christ et de l’horreur du péché. Chaque jour du Seigneur Dimanche nous nous réjouissons de la résurrection de Christ et de Sa victoire sur le péché et la mort. Mais la théorie de l’évolution détruit la base même de ce message d’amour. Le processus évolutionniste est supposé être celui de la lutte et de la mort, de la cruauté, de la brutalité sans pitié. C’est l’horrible lutte pour la survie, l’élimination des faibles et des handicapés. Voilà ce qui sous-tend l’évolution la mort, l’effusion du sang et la lutte pour amener l’homme à l’existence. C’est la mort depuis des millions d’années. C’est une progression lente vers une apogée l’existence de l’homme. Mais que dit la Bible en Romains 5 12? L’acte de l’homme l’a amené au péché, ce qui a provoqué la mort. La Bible nous dit que sans effusion de sang, il n’y a point de pardon pour le péché Hébreux 9 22. Dieu a institué la mort et l’effusion du sang pour que l’homme puisse être racheté. Si la mort et l’effusion du sang avaient existé avant le péché d’Adam, la base de l’expiation eût été détruite. Les évolutionnistes diraient que la lutte et la mort ont rendu possible l’existence de l’homme. La Bible dit que les actes de rébellion de l’homme ont amené sa mort. Ces affirmations ne peuvent pas toutes deux être vraies. L’une contredit l’autre; elles sont diamétralement opposées. C’est pourquoi ceux qui font le compromis d’adhérer simultanément aux deux positions les évolutionnistes théistes sont en train de détruire la base de l’Evangile. Si la vie s’est formée en une progression vers le haut, comment l’homme est-il tombé vers le haut ? Qu’est-ce que le péché ? Le péché serait alors une caractéristique animale héritée et non ce qui a résulté de la chute de l’homme par désobéissance. Tous les chrétiens qui acceptent la croyance en l’évolution, y ajoutant Dieu, détruisent le fondement même du message évangélique qu’ils professent. Dans une église, un monsieur s’est approché de moi pour insister sur le fait qu’un chrétien pouvait croire à l’évolution. Puisque j’avais passé un temps considérable, au cours de la réunion, à montrer qu’il n’y avait pas de mort avant la Chute, je lui ai demandé s’il croyait à l’existence de la mort avant qu’Adam ne pèche. Sur un ton fâché, il m’a répliqué “ Battez-vous votre femme ?” Sa question m’a vraiment surpris et je ne comprenais pas la relation qu’il voulait établir alors, je lui ai demandé ce qu’il voulait dire. Il m’a reposé la question “Battez-vous votre femme ?”, puis il est parti. La vie d’un conférencier itinérant est remplie d’expériences intéressantes! Cependant, j’ai pensé longtemps à la question de cet homme. Après une conversation avec un psychologue, j’ai compris qu’il y a un genre de questions auxquelles, que vous répondiez oui ou non, vous êtes piégés. En fait, ce monsieur voulait poser la question “Vous êtes-vous arrêté de battre votre femme ?” Que vous répondiez oui ou non, vous admettez que vous battiez votre femme. En rapport avec le péché d’Adam et la chute, si cet homme avait dit, “Oui, il y a eu la mort avant la chute d’Adam”, il eût été en contradiction avec la Bible. S’il avait dit, “Non, la mort n’existait pas avant la chute d’Adam”, il reniait l’évolution. D’un côté ou de l’autre, il avait compris que l’on ne peut mettre ensemble l’évolution et la Bible. Quelle que soit sa réponse, il était piégé, et il le savait. Soyons clairs. Je ne dis pas que, si vous croyez à l’évolution, vous n’êtes pas un chrétien. Il y a beaucoup de chrétiens qui, pour des raisons diverses ignorance, orgueil, ou une interprétation libérale des Ecritures, croient à l’évolution. Ceux qui y croient, cependant, ne sont pas en harmonie avec les Ecritures, et détruisent le fondement même de l’Evangile. Par conséquent, je les supplierais de reconsidérer sérieusement les évidences allant à l’encontre de leur position. Même les athées voient l’inconstance d’un chrétien qui professe foi en l’évolution, comme le montre la citation d’un article écrit par G. Richard Bozarth, intitulé “La signification de l’évolution” du magazine L’athée américain The American Atheist, du numéro de Septembre 1978 page 19 “Le christianisme est — et doit être — totalement engagé envers la création spéciale telle qu’elle est décrite dans la Genèse et le christianisme doit lutter de toutes ses forces et par tous les moyens, bons et mauvais, contre la théorie de l’évolution. Il apparaît clairement, maintenant, que toute la justification de la vie et de la mort de Jésus est bâtie sur l’existence d’Adam et d’Eve et le fruit défendu qu’ils ont mangé. Sans péché originel, qui a besoin d’être racheté? Sans la chute d’Adam dans une vie de péché constant aboutissant à la mort, quel but y a-t-il dans le christianisme? Aucun. ” L’athée Jacques Monod connu pour ses contributions à la biologie moléculaire et à la philosophie a dit, dans une interview intitulée Le secret de la vie’, diffusée par la Australian Broadcasting Commission le 10 juin 1978 “La sélection naturelle est la manière la plus aveugle et cruelle de faire évoluer de nouvelles espèces ou des organismes plus complexes et raffinés . . . .d’autant plus cruelle que c’est un processus d’élimination, de destruction. La lutte pour la vie et l’élimination du plus faible est un processus horrible, contre lequel notre éthique moderne se révolte. Une société idéale est une société non-sélective, c’est celle où les faibles sont protégés, ce qui est exactement le contraire de la soi-disant loi naturelle. Je suis surpris de constater que des chrétiens défendent l’idée de la sélection naturelle comme processus plus ou moins mis en place par Dieu pour créer l’homme.” Le péché originel, dont la mort est le résultat, est la base de l’Evangile. Voici pourquoi Jésus-Christ est venu et c’est la raison d’être de l’Evangile. Si le premier Adam n’est qu’une figure allégorique, pourquoi en serait-il autrement du dernier Adam, Jésus-Christ I Corinthiens 1545-47 ? Si l’homme n’était pas tombé dans le péché, il n’aurait aucun besoin de Sauveur. L’évolution détruit les fondations même du christianisme parce qu’elle affirme “La mort a toujours fait partie de la vie.” Si vous viviez dans un gratte-ciel et que les ouvriers avec des marteaux pneumatiques étaient en train d’en miner les fondements, diriez-vous “Quelle importance ?” Voilà pourtant ce que font beaucoup de chrétiens. Ils sont bombardés par l’évolution de tous côtés les médias, l’école publique, la télévision et les journaux et pourtant, ils ne réagissent que rarement. Les fondations du gratte-ciel du christianisme sont minées par les marteaux piqueurs de l’évolution. Mais, à l’intérieur de ce gratte-ciel, que font la plupart des chrétiens? Soit, ils sont assis sans rien faire, soit ils fournissent d’autres marteaux piqueurs en disant, “Allez-y. Détruisez nos fondations ! ” Pire encore, les évolutionnistes théistes ceux qui croient à la fois en l’évolution et en Dieu minent activement la base de l’Evangile. Comme le dit le psalmiste dans le Psaume 113 “Quand les fondements sont renversés, le juste que fera-t-il?” Si la base de l’Evangile est détruite, la structure bâtie sur ce fondement l’église chrétienne s’effondrera de manière générale. Si les chrétiens désirent conserver la structure du christianisme, ils devront en protéger le fondement et s’opposer ainsi, activement, à l’évolution. De nouveaux cieux et une nouvelle terre Le Paradis restauré L’évolution contredit également l’enseignement des nouveaux cieux et d’une nouvelle terre. Que nous dit la Bible à ce sujet? En Actes 321, nous lisons qu’il y aura un rétablissement ou une restitution. Ceci signifie que les choses seront restaurées au moins à ce qu’elles étaient à l’origine. Nous apprendrons ce à quoi ressemblera cette création restaurée “Il ne se fera ni tort ni dommage sur toute ma montagne sainte.” Esaïe 119. Les êtres seront végétariens et il n’y aura aucune violence. “Le loup habitera avec l’agneau, et la panthère se couchera avec le chevreau. Le veau, le lionceau et le bétail qu’on engraisse, seront ensemble, et un petit enfant les conduira. La vache et l’ourse auront un même pâturage, leurs petits un même gîte. Et le lion, comme le boeuf, mangera de la paille” Esaïe 116-7. — Ces animaux seront tous végétariens ! “Il n’y aura plus d’anathème” Apocalypse 223. Dans la Genèse, nous trouvons que les hommes et les animaux avaient reçu l’ordre de ne manger que des plantes voir Genèse 129,30; ils étaient végétariens. Ce n’est qu’après le déluge que l’homme a reçu la permission de manger de la viande Genèse 93. Il était végétarien lorsque Dieu l’a créé et il n’y avait aucune violence avant le péché d’Adam. Certains remettent en question l’affirmation que les premières créatures étaient végétariennes. Ils disent que les lions ont des dents aiguisées faites pour manger de la viande. Est-ce nécessairement vrai? Ou est-ce seulement ce qu’on nous a enseigné à l’école? En réalité, les canines aiguisées du lion sont bonnes pour déchirer. Les mêmes dents qui servent à déchirer la chair d’animaux peuvent aussi bien servir à déchirer des plantes. Selon la Parole de Dieu, les lions étaient végétariens avant la Chute et le seront, à nouveau, dans le paradis futur. D’ailleurs, des animaux carnivores peuvent très bien être végétariens. Les chiens et les chats survivent très bien avec un régime équilibré de légumes. Aussi, la Bible n’exclut pas la possibilité d’une action directe de la part de Dieu au moment de la Chute, et lors de la restauration future, ayant un effet biologique direct sur les créatures en ce qui concerne leur régime alimentaire. A l’heure actuelle, beaucoup d’animaux ont des dents dites “carnivores” comme le renard volant ou la chauve-souris à fruits mais ces animaux ne mangent que des plantes ou des fruits. Croire à l’évolution, c’est nier qu’il y ait eu un paradis universel lors de la création d’Adam car l’évolution implique nécessairement qu’avant la venue d’Adam, il y avait la lutte, la cruauté et la brutalité, des animaux qui s’entre-tuaient, et la mort. Le monde sera-t-il restauré à cet état-là? Si vous croyez à l’évolution, vous devez nier qu’il y ait eu un paradis universel avant Adam parce que vous croyez qu’il y avait la lutte et la mort pendant des millions d’années avant Adam et qu’il en sera de même à la fin des temps parce que la Bible enseigne que le monde sera restauré à ce qu’il était au début. Ainsi, l’évolution frappe non seulement au coeur et au fondement mais aussi à l’espérance du christianisme. Nous devons tous être sur la brèche pour ce combat. Beaucoup d’entre nous ont été abusés au point de croire que l’évolution ne concerne que la science et qu’il faut être un savant pour lutter sur ce front. Mais l’évolution est un système de croyances et il n’y a nul besoin d’être un scientifique pour la combattre. Les évolutionnistes évoquent le phonémène des mutations les erreurs génétiques et celui de la lutte et de la mort à l’heure actuelle pour essayer de prouver que l’évolution est possible. Par conséquent, les chrétiens qui croient en l’évolution sont obligés de croire que ce processus continue de nos jours. Les évolutionnistes extrapolent dans le passé à partir de données actuelles, déduisant que tout a évolué, par des mutations, pendant des millions d’années. Logiquement, un évolutionniste chrétien doit croire que l’évolution continue jusqu’à nos jours dans tous les domaines, y compris pour l’homme. Cependant, Dieu a dit dans Sa Parole que lorsqu’Il avait tout créé, Il termina Son oeuvre de création qu’Il trouva bonne Genèse 131- 23. Ceci est à l’opposé de ce que nous disent les évolutionnistes. Les évolutionnistes théistes ne peuvent pas prétendre que Dieu se soit servi de l’évolution dans le passé et qu’Il ne s’en sert plus de nos jours. Dire que l’évolution ne se fait pas aujourd’hui c’est détruire la théorie évolutionniste, puisque rien ne peut prouver que, si le processus a eu lieu dans le passé, pourquoi, quand et comment n’a-t-il plus lieu aujourd’hui. Beaucoup de chrétiens, en apprenant quelle est la vraie nature de la science - que l’évolution est une religion - abandonnent les croyances telles que l’évolution théiste ou la création progressive. Cependant, il reste encore un grand nombre de pasteurs, de théologiens et d’autres, qui, à cause de leur vue globale des Ecritures, n’accepteront pas ce que nous disons. Ils ont un désaccord philosophique de base avec nous en ce qui concerne l’approche de la Bible. Peut-être que le meilleur moyen de résumer cet argument est de vous donner l’illustration de l’une de mes rencontres avec un pasteur protestant. Certains membres du personnel de la Christian Science Foundation à Brisbane, Australie, avaient parcouru km jusqu’à Victoria pour animer des réunions dans des lieux divers. Dans l’une de ces localités, un des pasteurs s’est opposé publiquement à nous. Un autre pasteur de la même église avait préparé une annonce pour le journal paroissial annonçant nos conférences. Mais le pasteur opposant a obtenu l’original avant la mise sous presse et a supprimé l’annonce. Il a encouragé les gens à boycotter notre séminaire et a dit beaucoup de choses désobligeantes concernant notre organisation et notre enseignement. Il a même dit aux gens que nous étions du diable et que l’on ne devait pas nous écouter. J’ai pris rendez-vous avec ce pasteur afin d’en discuter avec lui. Il m’a expliqué qu’il croyait que la Genèse était purement symbolique, qu’il y avait un grand nombre d’erreurs dans la Bible et que l’on ne pouvait pas la prendre aussi littéralement que j’avais l’air de l’interpréter. Je lui ai répondu que la raison de ce désaccord, sur la question création/évolution, était due à notre approche personnelle très différente l’une de l’autre. Il a dit que c’était bien vrai, mais insistait que l’on ne pouvait prendre la Genèse au sens littéral mais seulement de manière symbolique. Je lui ai demandé s’il croyait que Dieu avait créé les cieux et la terre. Il dit, “Oui, c’est bien le message enseigné dans la Genèse.” Délibérément, j’ai cité Genèse 1 1 “Croyez-vous qu’au commencement, Dieu créa les cieux et la terre? ” Il répondit, “Oui, bien sûr. C’est le message communiqué par la Genèse.” Je lui ai expliqué qu’il venait de prendre Genèse 11 au sens littéral. Je lui ai demandé s’il prenait ce verset au sens symbolique et, sinon, pourquoi le prenait-il littéralement. Puis, j’ai demandé si Genèse 12 était à prendre littéralement ou symboliquement. Comment pouvait-il dire que tout le livre devait être interpreté symboliquement, s’il prenait Genèse 1 1 littéralement. Il a dit que ce que disait la Genèse n’était pas important — uniquement ce qu’elle voulait dire. “Comment pouvez-vous comprendre la signification indirecte d’un texte si vous ne savez pas ce qu’il signifie littéralement?” J’ai demandé, “Si vous ne pouvez pas prendre ce qui est dit pour arriver à la signification, alors l’anglais ou toute autre langue devient un non-sens.’" Je lui demandai alors de quelle manière il décidait de ce qui était vrai touchant les Ecritures. Il a répondu, “Par un consensus d’opinion dans notre communion.” Alors j’ai dit, “Ceci est donc votre base pour déterminer ce qu'est la vérité. D’où avez-vous cette base et comment savez-vous que c’est la bonne base pour décider ce qu’est la vérité?” Il m’a regardé et m’a dit, “Par un consensus d’opinion parmi les érudits.” De nouveau , je lui ai posé la question “Si ce consensus d’opinion est votre base pour déterminer la vérité et pour décider si votre communion est arrivée aux bonnes conclusions concernant la vérité, comment savez-vous que vous avez trouvé la bonne base pour déterminer ce qu’est la vérité ?” Il m’a dit alors qu’il n’avait pas toute la journée pour parler de ce sujet et qu’il valait mieux terminer la discussion. Ce qu’il faisait, bien sûr, était de faire appel à la sagesse de l’homme pour décider de ce que signifiait l’Ecriture, plutôt que de laisser la Parole de Dieu lui dire ce qu’était la vérité. La vraie différence entre nos positions peut être résumée comme suit Où placez - vous votre foi dans les paroles d’hommes qui sont des créatures faillibles qui ne savent pas tout et qui n’étaient pas présents lors de la Création ou dans les paroles du Dieu qui est parfait, qui sait tout et qui était présent à la Création? Les chrétiens, ou ceux qui se réclament de ce nom qui prennent cette vue libérale des Ecritures verront généralement les implications de cette fausse philosophie dans la génération suivante chez leurs enfants. Du fait qu’ils ne peuvent pas fournir un fondement solide pour leurs enfants, ils voient souvent toute la structure du christianisme s’effondrer dans la génération suivante. Pour beaucoup de ces gens, la triste vérité est qu’ils perdront la plupart de leurs enfants, qui rejetteront le christianisme en bloc. Ce dilemme en rapport avec la théologie libérale est très lié à la controverse concernant la Genèse. Si quelqu’un rejette la Genèse ou s’il affirme que le récit est seulement un mythe ou du symbolisme, il devra logiquement renier le reste des Ecritures. Vous en voyez la preuve chez les gens qui essaient d’expliquer, par des causes naturelles, les miracles tels que la traversée de la Mer Rouge, le buisson ardent ou un poisson qui avale un homme pour n’en nommer que quelques-uns. Mais ces gens ne s’arrêtent pas là. Ils essaient d’expliquer les miracles de Christ dans le Nouveau Testament. Parfois, et c’est de plus en plus fréquent, ils nient même la naissance du Christ d’une vierge, ainsi que la résurrection corporelle de Jésus. Mais lorsque l’on accepte la Genèse comme étant un récit historique véridique servant de fondement à toutes les Ecritures, il est facile d’accepter la vérité de tout le message de la Bible. Je prends la Bible littéralement à moins que la signification soit ouvertement symbolique. Et même, là où le sens est symbolique, les mots et les phrases ont une base littérale. Beaucoup de gens se servent de la phrase biblique qui dit que Jésus est la porte pour affirmer que l’on ne peut pas prendre la Bible littéralement. Cependant, une étude des coutumes de cette époque révèle que le berger avait l’habitude de s’asseoir dans l’ouverture de l’enclos et il était littéralement la porte. Donc, dans ce sens-là, Jésus est littéralement la porte, tout comme l’est le berger pour son troupeau. Trop de gens veulent tirer des conclusions hâtives concernant l’aspect littéral des Ecritures, sans considérer soigneusement la déclaration, le contexte et les coutumes. Nous pouvons interpréter un texte selon un sens symbolique ou selon ses métaphores lorsque ce sens-là est clairement indiqué ou que le texte le précise en quelques mots. Bien entendu, beaucoup de théologiens libéraux accusent le ministère créationniste d’être un facteur de division. Ils ont sûrement raison de l’affirmer car la vérité divise toujours. Comme l’a dit Christ, Il est venu pour diviser “Car je suis venu mettre la division entre l’homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère” Matthieu 1035. Ne connaissez-vous pas des familles où les relations sont tendues, sinon brisées, parce qu’un des membres vit pour Christ, tandis qu’un autre vit d’une manière contraire ? Les compromis sont, hélas, trop fréquents avec le chrétien qui cède sur ses convictions pour avoir la paix et l’harmonie. Jésus a prédit une lutte et non la paix à tout prix. En Luc 12/51 Jésus a dit, “Pensez-vous que je sois venu apporter la paix sur la terre? Non, vous dis-je, mais la division.” Voir aussi Jean 712, 43; 916; 1019. D’un point de vue pratique, je trouve que les élèves ne veulent pas entendre que la Bible est remplie d’erreurs et qu’ils ne doivent pas y placer leur confiance. Au contraire, ils veulent entendre qu’il y a des réponses et qu’ils peuvent avoir des certitudes. Lors d’une réunion, une mère m’a dit que sa fille allait dans une classe d’école publique à laquelle je m’étais adressé. Sa fille lui a expliqué que ce qui avait impressionné les élèves, plus que toute autre chose, est que j’avais parlé avec beaucoup d’autorité. Ils étaient impressionnés du fait que je ne remettais pas en question la Parole de Dieu mais que je l’acceptais totalement. Cela m’a rappelé cette affirmation des Ecritures; “Après que Jésus eut achevé ces discours, la foule fut frappée de Sa doctrine; car Il enseignait comme ayant autorité, et non pas comme leurs scribes”Matthieu 728-29. Jésus avait beaucoup d’autorité et de conviction lorsqu’Il parlait. Il n’a pas annoncé plusieurs chemins pour aller au ciel. Il n’est pas venu pour déclarer qu’Il croyait être l’un des chemins pour accéder à la vie éternelle. Jésus a dit, “Je suis le chemin, la vérité et la vie” Jean 146. Je pense que Jésus ne serait pas accepté dans bon nombre d’églises de nos jours s’Il venait prêcher. Il serait un facteur de division! Il en était de même il y a deux mille ans. Sommes-nous, les chrétiens nés de nouveau, le corps de Christ sur la terre aujourd’hui, trop timorés pour proclamer la vérité, de peur de provoquer une division? Dans une église, j’ai parlé à un groupe de jeunes sur l’importance de la Genèse. J’étais étonné que le responsable du groupe se soit levé à la fin du programme pour dire aux jeunes à quel point il était déçu de ma vue “basse” des Ecritures. Il disait que j’essayais d’imposer une Bible parfaite à Dieu et combien ce point de vue était limité et inadéquat. De son côté, il était prêt à accepter que la Bible contienne des erreurs et des problèmes. Ceci représentait sa vue “haute” des Ecritures. Après cette conversation, j’ai compris que les mots n’avaient aucune signification pour cet homme. Beaucoup de gens dans les églises surtout ceux de la jeune génération ont remarqué le manque d’autorité dans l’enseignement. C’est un bien triste verdict pour nos églises. Comment nourrissent-elles leurs membres?
Ily a au fond de nous un instinct puissant qui nous dit que notre vie ne finit pas avec la mort. Cette soif de vie a trouvé sa réponse réelle et
Depuis que je suis enfant je "sais', sans bien sur, pouvoir prouver quoi que ce soit que la mort n'existe vous ressortirai bien ce qu'on dit sur le sujet, comme par exemple que nos corps ne sont que des véhicules pour nos âmes et qu'ils meurent une fois que nous avons accompli le "programme' que nous nous étions fixé avant notre eu plusieurs expériences suite à des décès de proches qui n'ont fait que me conforter dans cette conviction, idem pour les livres. Au moins puis je me dire que je ne suis pas la seule "cinglée' ayant cette certitude car c'est bien ainsi que je le fait de croire que notre vie sur terre n'est qu'un passage, un peu comme une grande salle de classe ou l'on vient apprendre, comprendre et évoluer, donne une toute autre perception de la vie et des épreuves qui s'y rattachent. Mais cela donne aussi beaucoup plus de sens et amène à réfléchir différemment, en effet ce que nous faisons n'est pas sans conséquence, ni pour autrui, ni pour nous, aussi vivre ainsi amène a une plus grande conscience de l'autre. Ainsi pour moi la mort sera le moment ou je pourrai rentrer chez moi... Elle devient juste un nouveau voyage et non ce gouffre où l'on cesse d'exister à jamais... rien n'est terminé, tout continue
Prenons déjà le temps de regarder si les réglementations qui existent sont bien appliquées". Après la mort de deux adolescents percutés par
Jusqu'à un passé récent, le cimetière au était réuni l'ensemble d'une famille était le lieu de destination évident de son propre corps après sa propre mort. Aujourd'hui, cela ne va plus de soi... AFP/ANDRE DURAND Le tabou de la mort est un fait contemporain. Parmi les questions qu'il soulève et auxquelles il semble de plus en plus difficile de répondre "Où vais-je me faire enterrer? Où enterrer mon père, ma mère?" La réponse allait encore de soi dans un passé récent, plus aujourd'hui... Pour quelle raison? Le rattachement à une territorialité n'est plus une évidence, en effet, et la mort n'y échappe pas. Jusqu'à un passé récent, disons avant la deuxième guerre mondiale, le cimetière où était réuni l'ensemble d'une famille était forcément le lieu de destination de son propre corps après sa propre mort. On n'avait même pas à y penser. Il était au bout du village, c'est là qu'on serait un jour. Tout ceci n'est plus une évidence. Ce phénomène tient à plusieurs raisons qui se conjuguent l'urbanisation - nous sommes passés de la société du village à celle de l'agglomération urbaine ; l'éclatement des familles ; le fait que la profession exercée ne se fait plus dans le périmètre du lieu de naissance, les déplacements devenant la règle. Un jour, vous êtes muté à Tokyo, le lendemain à Metz... Tout devient plus compliqué. Voilà pour les aspects socio-démographiques, les transformations objectives des modes de vie. Au-delà, qu'est-ce que cela traduit de notre rapport à la mort?Notre société, c'est une banalité de le dire, ne se penche plus beaucoup sur la mort. Plus tard on y pense, mieux c'est. L'essor de la crémation tient aussi à cela, d'ailleurs, entre autres raisons. On n'est plus attaché à un territoire, donc cela fait moins de sens d'être enterré à tel ou tel endroit. Le lieu d'inhumation a moins de signification que par le passé. Jusqu'à ce qu'on interdise, il y a quelques années, la possibilité de conserver l'urne chez soi, on pouvait de la sorte disposer de ses cendres comme on le voulait, ce qui rendait la mort comme hors lieu, hors du cimetière, lequel est aussi un espace collectif. On pouvait se dire "Le lieu des morts n'est pas celui de mon mort". Symptomatique d'un certain désarroi social. Ramener le mort chez soi, c'est aller contre la règle fondamentale de la ritualité funéraire, qui veut qu'on se sépare des morts. Ce détachement de la territorialité est récent, dites-vous. Oui, un saut a été franchi récemment, même s'il se préparait sans doute de longue date, et on peut le voir, là encore, à travers la crémation. L'Eglise catholique a levé l'interdiction de la crémation après la deuxième guerre mondiale, relativement récemment, donc. Dans les années 1970, personne n'aurait alors imaginé qu'elle progresserait comme elle l'a fait à partir des années 1990. Aujourd'hui, un peu plus d'un Français sur deux l'envisage. Dans les années 1970 et 1980, la crémation relevait d'une certaine vision du monde, d'une posture militante. A présent, elle n'apparaît plus comme un choix différencié mais comme un option qui découle aussi de ce détachement du territoire et de cette logique d'urbanisation qui caractérise notre culture globale. On trouve des maisons funéraires même hors des grandes villes, même à Sainte-Foy-la-Grande ! On peut se dire que c'était rassurant, en quelque sorte, de savoir que l'on reposerait à tel endroit un jour... Qu'engendre cette incertitude nouvelle?Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement La ritualité funéraire n'est pas seulement une coutume, elle agit aussi sur l'équilibre socio-psychique des personnes. Elle s'inscrit dans notre mémoire collective. Ces changements nous questionnement évidemment très profondément par rapport à notre propre finitude, nos relations avec nos proches... Comment pourra-t-on étayer un souvenir s'il n'est plus rattaché à un lieu, transmettre une mémoire familiale? Autant de questions qui se posent. Nous faisons comme si tout ceci tout était indifférent, mais ce n'est pas vrai. Nous ne sommes pas indifférents à notre propre devenir. Nous avons besoin de nous représenter cet irreprésentable et nous ne pouvons pas faire n'importe quoi de notre propre corps, dans l'indifférence de la souffrance de nos proches. Une évolution notable, par ailleurs des entreprises funéraires proposent de plus en plus, sur leur site Internet, d'aller se recueillir virtuellement, en photo, sur la tombe d'un proche, d'aller visiter le cimetière, de payer des fleurs qui y seront déposées... On met au point des services censés combler la distance physique "Je suis à Bordeaux, mon père est enterré à Strasbourg..." La ritualité funéraire serait donc moins importante, aux yeux des Français?Pas du tout, et c'est aussi toute la question. La Toussaint, on le voit bien, reste un jour très important c'est l'un des jours où il y a le plus de circulation en France, ce qui veut dire que les gens se déplacent. C'est aussi l'un des jours où l'on achète le plus de fleurs. Ce n'est donc pas du tout indifférent. Le fait de ne plus savoir où l'on va être enterré est plus marqué à la ville qu'à la entendu. Dans les villages, on est encore enterré de génération en génération et on y trouve encore une présence des signes sociaux de la mort, une sonorité le clocher du village, le glas..., qu'on n'a plus en ville, où la mort n'est plus perceptible. Voyez le corbillard et l'écart de culture entre ce qu'on peut en voir aujourd'hui et ce qui en est montré, par exemple, dans Le Corbeau, le film de Clouzot, qui ne date pas non plus du Moyen Age ! Tout le village qui processionne derrière le corbillard tiré par des chevaux... Dans mon enfance, le corbillard était un véhicule noir qui roulait lentement en bordure du trottoir, n'occupait pas le centre de la chaussée. Aujourd'hui, il se mêle à la circulation, comme les autres véhicules. La mort était inscrite dans le paysage, dans l'espace partagé, elle ne l'est plus. Conséquence de son refoulement?Oui, ou de son déni. Le grand anthropologue Louis-Vincent Thomas parlait, lui, de "déni de la mort", expression qui ne signifiait pas seulement le refus ou la peur de la mort mais le fait de faire comme si elle n'existait pas, n'avait aucune importance. Attitude encore plus étrange que la simple peur ou le refus, et qui nous est contemporaine, car elle n'a jamais existé auparavant, à aucun moment de l'Histoire. Or notre rapport à la vie est en rapport à la mort. Quand les choses ne sont plus parlées, plus signifiées, quand tout a l'air flottant, incertain, on perd des repères essentiels. On peut aussi s'interroger, en matière de refoulement, sur la généralisation des cimetières périurbains, crées dans les années 1980, qui sont souvent des lieux isolés, à l'écart de la ville, et esthétiquement, situés dans des zones de relégation, entre le centre commercial et la déchetterie. Vous avez des panneaux où celle-ci côtoie le crématorium, vous devez passer, pour y accéder, par une montagne de pneus crevés ! Ce qui peut pousser à s'interroger sur la façon dont les vivants traitent les morts. Pourquoi un tel manque de soin? Patrick Baudry est l'auteur de La Place des morts L'Harmattan, et Pourquoi des soins palliatifs ? éditions Châtelet-Voltaire, 2013 Patrick Baudry est l'auteur de La Place des morts L'Harmattan, et Pourquoi des soins palliatifs ? éditions Châtelet-Voltaire, 2013 Delphine Saubaber Les plus lus OpinionsLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne Rosencher Lafatigue et si forte que la personne n’arrive plus à suivre ce qui se passe directement autour d’elle. Comment réagir : laissez la personne dormir. Evitez de la réveiller brutalement. Partez du principe que tout ce que vous dites peut être entendu, car l’ouïe continue à fonctionner, même lorsque la personne est inconsciente, et même dans le coma. 3. L’invasion de l’Ukraine par les Russes en 2022 est, comme le fut celle de lIrak par les Américains en 2003, une invitation à repenser la liberté. Il faut sans cesse repenser la liberté. On pourrait même dire qu’elle consiste avant tout à se repenser elle-même. Se repenser pour se reconquérir car elle est toujours menacée d’extinction. Suite à l’invasion de l’Ukraine, on a entendu mille fois cette pathétique question comment une telle horreur est-elle possible en 2022? Le 3 mars, le président de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky, l’a reprise à son compte sur un ton qui tirait les larmes. Cette invocation, car il s’agit bien d’une invocation, brise le cœur parce qu’elle s’adresse non à des personnes, divines ou humaines, mais à une idée abstraite appelée sens de l’histoire » ou progrès. Cette idée, apparue au siècle des Lumières, est la promesse de perfection que l’homme s’est faite à lui-même en tournant le dos à Dieu pour prendre les commandes de sa destinée. Elle a pénétré les mentalités à un point tel que tous, modernes et post-modernes, semblent présumer que le mal est en voie de disparition dans le monde, que chaque jour qui passe est un barreau dans l’échelle vers la perfection, que l’histoire est un ascenseur qu’on supplie, en cas de panne, de reprendre sa montée vers le septième ciel. Plutôt que de nous enliser dans cette pensée magique, nous aurions intérêt à réfléchir sur le sens du mal, ce à quoi nous invitent ces civils ukrainiens devenant soldats en quelques jours, avec un courage rappelant celui de tant de résistants du passé. C’est le contact brutal avec le mal qui rend ces faibles humains capables d’un tel héroïsme. Si le mal n’existait pas, tout irait pour le mieux, mais dans ce meilleur des mondes, notre autonomie se limiterait au choix superficiel entre des objets et des projets ; nous n’aurions pas ce don suprême, méritant pleinement le nom de liberté, de choisir entre le bien et le mal. Nous n’aurions que des préférences, point d’engagements profonds et durables pouvant aller jusqu’au sacrifice de notre vie pour des êtres et des pays aimés. Les chemins vers cette liberté profonde varient selon les cultures, Voici celui que m’indiquent mes racines chrétiennes la perfection n’est pas de ce monde. La nature, par Dieu créée, est imparfaite, mais elle comporte assez de vie, de bien et de beauté pour que, usant de sa liberté et misant sur la grâce, l’homme s’oriente vers une perfection intérieure baignant dans le mystère et auréolée d’éternité, Vue sous cet angle, la liberté est le sens du mal, vérité qu’on hésite à reconnaître tant on peut craindre qu’elle serve à justifier la complicité avec le mal. Composer avec le mal et en être complice sont heureusement deux choses bien différentes. Le meilleur usage de la liberté est de combattre le mal, en soi et hors de soi, sans exiger ni même rêver de l’éradiquer, mais en désirant l’énergie spirituelle requise pour nous engager réellement dans la voie de notre idéal. En préférant le plus grand des risques à leur asservissement, les civils ukrainiens nous rappellent aussi que la liberté est fille de la mort, ce dont témoignent les cimetières militaires, si vite oubliés; oublié aussi le souvenir de tous les vaincus qui ont préféré le suicide au déshonneur, de tous les esclaves qui ont pris le risque de la révolte, de tous les croyants qui n’ont pas trahi leur Dieu quand on les sommait de le faire, de tous les savants qui ont préféré la vérité à l’opinion du plus fort, de Socrate, de Sénèque et de tous ceux qui comme eux ont suivi des principes plus chers à leurs yeux que leur propre vie. Cette liberté profonde suppose l’existence d’une seconde dimension, spirituelle, dans l’être humain, elle peut aussi prendre appui sur l’espérance d’une autre vie après la mort. On se prend à présumer que ces conditions existent encore en Ukraine. Elles sont presque partout menacées par la montée du matérialisme et de l’unidimensionnalité. Dans ce contexte, le mal, y compris la maladie, le malheur et la mort peut-il encore avoir un sens? Est-il encore possible de composer avec lui, de se limiter au moindre mal dans l’action? Ou ne reste-t-il plus qu’à mener contre lui une guerre totale, avec des mobiles associés à des utopies promettant le paradis sur terre ? Le combat contre le mal devient alors une menace pour la liberté. Les conversions au bien ne pouvant venir de la vie intérieure, qui n’existe plus, le progrès escompté nécessite un contrôle et une surveillance sans cesse accrus, scénario dont Orwell 1984 et Huxley Le meilleur des mondesont fait une analyse donnant à entendre que l’homme réduit à ses seuls moyens ne peut s’améliorer qu’en renonçant à sa liberté, une liberté que les sciences humaines, au même moment, ont présentée comme une illusion. Relire Beyond Freedom and Dignity et Walden Two Dans ce scénario, le mécanique, sous toutes ses formes, y compris la forme administrative, se substitue au vivant pour une raison très simple les machines, alliages de raison désincarnée et de minéral, peuvent être portées à un très haut degré de perfection. Elles s’élèvent ainsi au-dessus du couple mal-liberté qui caractérise le vivant et suit sa hiérarchie. Il n’y a ni mal ni liberté dans la matière inanimée. À la vision spiritualiste du monde évoquée précédemment se substitue alors cette vision transhumaniste la perfection sera de ce monde, mais par le moyen de la seule chose que l’homme dieu sait faire mieux que le Créateur des machines, auxquelles il ne peut que ressembler de plus en plus. On voit par là que la minéralisation de la terre n’est pas seulement un problème environnemental mais aussi une atteinte à la liberté. p8xqlE3.
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  • et si la mort n existait pas