contrela grippe saisonniĂšre et de dĂ©crire les actions pouvant ĂȘtre mises en Ɠuvre au niveau local afin d’encourager les personnes ciblĂ©es par les recommandations Ă  se faire vacciner. I. CONTEXTE ET OBJECTIFS L’épidĂ©mie de grippe touche chaque annĂ©e plus de 3 millions de personnes. La grippe peut ĂȘtre grave, voire mortelle en particulier chez les personnes fragiles,
Nouvelle communication "offensive", possibilitĂ© de faire le vaccin en pharmacie... Le gouvernement a lancĂ© officiellement lundi la campagne de vaccination contre la grippe avec un objectif augmenter le taux de protection des populations Ă  risque, en particulier les femmes enceintes et les "jeunes seniors". "Cette annĂ©e encore la grippe va faire trĂšs mal", proclame le slogan de la campagne publicitaire destinĂ©e Ă  "frapper les esprits", dĂ©voilĂ©e par le ministĂšre de la SantĂ©, l'Assurance maladie et SantĂ© publique France. Elle met en scĂšne un "personnage pernicieux" en combinaison hĂ©rissĂ©e de piquants pour personnifier le "mĂ©chant" virus. "Forte fiĂšvre, maux de tĂȘte, fatigue intense, courbatures, le film rappelle Ă  quel point la maladie peut ĂȘtre invalidante et comment, face Ă  ce flĂ©au, la vaccination s'impose comme la premiĂšre des protections", expliquent les autoritĂ©s sanitaires. "Loin de constituer une banale infection de type ORL ou respiratoire, comme on le pense souvent, la grippe est au contraire responsable de complications invalidantes et de dĂ©cĂšs, particuliĂšrement pour les personnes fragiles", a insistĂ© le directeur gĂ©nĂ©ral de la SantĂ© JĂ©rĂŽme Salomon, devant la presse. Chaque annĂ©e, cette maladie virale touche 2 Ă  6 millions de personnes, entraĂźne des dizaines de milliers de passages aux urgences et fait morts en moyenne, a-t-il rappelĂ©. La campagne de vaccination, lancĂ©e le 15 octobre, vise en prioritĂ© les personnes "fragiles" face au virus plus de 65 ans, personnes atteintes d'une maladie chronique diabĂšte, insuffisance cardiaque ou respiratoire... ou d'une obĂ©sitĂ© sĂ©vĂšre et femmes enceintes, soit "plus de 13 millions de personnes". Toutes les personnes majeures Ă©ligibles peuvent retirer le vaccin Ă  la pharmacie "sur prĂ©sentation de leur bon de prise en charge de l'Assurance maladie" et se faire vacciner au choix par un mĂ©decin, un infirmier, une sage-femme et, nouveautĂ© 2019, un pharmacien volontaire. - Deux tiers des mĂ©decins vaccinĂ©s - AprĂšs deux ans d'expĂ©rimentation dans quatre rĂ©gions tests, la possibilitĂ© de se faire vacciner en pharmacie a en effet Ă©tĂ© gĂ©nĂ©ralisĂ©e. Quant aux infirmiers, leur rĂŽle est Ă©largi depuis l'an dernier, avec la possibilitĂ© de vacciner sans ordonnance l'ensemble des personnes ayant reçu un bon de la SĂ©curitĂ© sociale, y compris les femmes enceintes et ceux se faisant vacciner pour la premiĂšre fois. L'objectif est "de multiplier les occasions de se faire vacciner" pour augmenter la couverture vaccinale, "insuffisante avec moins d'une personne fragile sur deux vaccinĂ©e 46,8%", "trĂšs loin du niveau de 75% recommandĂ© par l'OMS", a soulignĂ© JĂ©rĂŽme Salomon. Ce chiffre est en rĂ©gression ces derniĂšres annĂ©es il Ă©tait de 58,7% en 2008, malgrĂ© une hausse de 1,2 point l'annĂ©e derniĂšre. Deux publics sont particuliĂšrement visĂ©s les "jeunes seniors", qui "se croient encore invincibles", et les femmes enceintes "qui ne savent pas les ravages que peut provoquer la grippe", a dĂ©taillĂ© Olivier Lyon-Caen, mĂ©decin-conseil national Ă  la Caisse nationale d'Assurance maladie CNAM. Chez ces derniĂšres, le taux de vaccination n'Ă©tait que de 7,4% selon les derniĂšres donnĂ©es connues 2016, souvent par crainte des effets sur le foetus, alors que la vaccination protĂšge au contraire contre les risques de fausse couche et de naissance prĂ©maturĂ©e qu'entraĂźne une grippe pendant la grossesse. Les pouvoirs publics insistent aussi sur la vaccination insuffisante des professionnels de santĂ©, pourtant "essentielle pour Ă©viter la transmission de la maladie" aux plus fragiles. Selon une Ă©tude publiĂ©e lundi, seuls 35% des professionnels de santĂ© travaillant en hĂŽpital ou en clinique Ă©taient vaccinĂ©s contre la grippe l'an dernier, un chiffre toutefois en nette progression par rapport Ă  il y a dix ans 25,6%. Une expĂ©rimentation sera menĂ©e pendant trois ans en Normandie et en Ile-de-France pour dĂ©terminer "quels sont les meilleurs moyens pour entraĂźner une adhĂ©sion optimale" chez ces professionnels. InterrogĂ© sur l'idĂ©e de rendre obligatoire le vaccin de la grippe dans cette population, le directeur gĂ©nĂ©ral de la SantĂ© a dĂ©clarĂ© que "tout ça fait l'objet de rĂ©flexions, mais on en appelle surtout Ă  leur mobilisation dans l'intĂ©rĂȘt des patients". L'hiver dernier, l'Ă©pidĂ©mie de grippe saisonniĂšre a entraĂźnĂ© une mortalitĂ© moins Ă©levĂ©e que la moyenne des annĂ©es prĂ©cĂ©dentes, mais sur une pĂ©riode plus courte, avec dĂ©cĂšs estimĂ©s, selon un nouveau bilan de SantĂ© publique France.
Leslogan : « Cette annĂ©e encore la grippe va faire trĂšs mal« . « Forte fiĂšvre, maux de tĂȘte, fatigue intense, courbatures, le film rappelle Ă  quel point la maladie peut ĂȘtre invalidante et comment, face Ă  ce flĂ©au, la vaccination s’impose comme la premiĂšre des protections », expliquent les autoritĂ©s sanitaires.
Alors que la campagne de vaccination contre la grippe saisonniĂšre a dĂ©butĂ© depuis le 15 octobre dans l’Hexagone, l’heure est aussi au bilan de la saison passĂ©e pour l’organisme SantĂ© Publique France. Celui-ci a en effet publiĂ© plusieurs donnĂ©es intĂ©ressantes quant Ă  la grippe saisonniĂšre de la saison 2018-2019, particuliĂšrement meurtriĂšre au vu de sa courte dernier, l’épidĂ©mie de grippe a en effet dĂ©butĂ© dĂ©but janvier en France mĂ©tropolitaine, atteint son pic au cours de la premiĂšre semaine de fĂ©vrier, et s’est terminĂ©e fin fĂ©vrier. Soit 8 semaines d’épidĂ©mie, une durĂ©e bien plus courte que l’épidĂ©mie de grippe de la saison 2017-2018, qui s’était Ă©talĂ©esur 16 l’hiver 2018-2019, la grippe a Ă©tĂ© marquĂ©e par une cocirculation des virus AH3N2 et AH1N1pdm09, avec un trĂšs faible nombre de virus de type B dĂ©tectĂ©s, dĂ©taille SantĂ© Publique France dans son Bulletin Ă©pidĂ©miologique si l’épidĂ©mie a Ă©tĂ© d’intensitĂ© modĂ©rĂ©e en mĂ©decine ambulatoire, elle a engendrĂ© un nombre Ă©levĂ© d’hospitalisations aprĂšs visite aux urgences pour syndrome grippal plus de 10 700 personnes et de cas graves admis en rĂ©animation plus de 1 890 personnes. Compte tenu de sa courte durĂ©e, l’épidĂ©mie de grippe 2018-2019 a Ă©tĂ© marquĂ©e par une surmortalitĂ© importante, avec 8 100 dĂ©cĂšs qui lui sont SantĂ© Publique France, ces donnĂ©es rappellent "la gravitĂ© de la maladie et l’intĂ©rĂȘt de la prĂ©vention, Ă  savoir la vaccination chez les personnes Ă  risque, complĂ©tĂ©e de mesures barriĂšres afin de limiter la diffusion du virus dans l’entourage des cas, ainsi que l’utilitĂ© d’un traitement antiviral prĂ©coce, particuliĂšrement chez les sujets Ă  risque”.C’est pourquoi pour la saison 2019-2020, l’organisme a choisi un message fort pour la campagne de vaccination “Cette annĂ©e encore, la grippe va faire trĂšs mal”. Car pour la saison prĂ©cĂ©dente, le recours Ă  la vaccination Ă©tait encore insuffisant, avec moins d’une personne Ă  risque sur deux vaccinĂ©e 46,8 %. Pourtant, la majoritĂ© des cas graves 83% prĂ©sentait au moins un facteur de risque de grippe grave, notamment l’ñge, puisque 52% d’entre eux avaient plus de 65 couverture vaccinale encore insuffisante du cĂŽtĂ© des professionnels de santĂ©SantĂ© Publique France dĂ©plore par ailleurs une vaccination des personnels de santĂ© encore insuffisante, bien qu’en augmentation constante depuis 10 a menĂ©, de mai Ă  juillet 2019, en collaboration avec le CPias Centre de prĂ©vention associĂ© aux soins de Nouvelle-Aquitaine, des enquĂȘtes de couverture vaccinale antigrippale auprĂšs des professionnels de santĂ© en Ă©tablissements de santĂ© et en Ehpad. Les rĂ©sultats ont Ă©tĂ© comparĂ©s Ă  l’étude nationale sur la couverture vaccinale en Ă©tablissements de santĂ© menĂ©e en 2009. Verdict du cĂŽtĂ© des Ă©tablissements de santĂ©, si la tendance est bien Ă  l’augmentation pour les mĂ©decins 68 %, +13 points par rapport Ă  2009, pour les sages-femmes 50 %, + 27 points et pour les infirmieres 36 %, + 12 points, on observe aussi une relative stabilitĂ© pour les aide-soignantes 21 %, + 2 points.Quant Ă  la vaccination du personnel soignant en Ehpad, on observe une hausse pour les mĂ©decins 76% actuellement contre 60 % en 2009, une relative stabilitĂ© pour les infirmiĂšres 43% contre 45 % en 2009 et une baisse pour les aide-soignantses 27% actuellement contre 34% en 2009.Tout en rappelant que la vaccination des professionnels de santĂ© en contact avec les personnes Ă  risque de grippe grave reste essentielle pour Ă©viter la transmission de la maladie, SantĂ© Publique France constate que “certaines mesures mises en place au sein des services, des Ă©tablissements et des Ehpad, destinĂ©es Ă  promouvoir la vaccination ou Ă  faciliter la disponibilitĂ© du vaccin, sont susceptibles d’amĂ©liorer les couvertures vaccinales antigrippales”. Dans les Ă©tablissements oĂč ces diffĂ©rentes mesures ont Ă©tĂ© mises en place, la couverture vaccinale dĂ©passe 50 %.Sources Bulletin Ă©pidĂ©miologique hebdomadaire, 21 octobre 2019, SantĂ© Publique France.
communication avec la signature « Cette annĂ©e encore, la grippe va faire trĂšs mal. ProtĂ©gez-vous contre la grippe, vaccinez-vous ». Ce message de sensibilisation circulera dans tout le dĂ©partement sur les abribus de l’Essonne du 25 novembre au 8 dĂ©cembre et sur certains bus du 4 au 17 dĂ©cembre. Contact Presse : Jean-Marc Bouly Si le Covid-19 est toujours au cƓur des prĂ©occupations avec chaque jour des records de contaminations, l'Ă©pidĂ©mie de grippe saisonniĂšre signe, cette annĂ©e, son grand retour. Par Maxime T'sjoen PubliĂ© le 5 Jan 22 Ă  1914 mis Ă  jour le 5 Jan 22 Ă  1914 Avec un taux d’incidence de 164,3 cas pour 100 000 habitants, la VendĂ©e vient de basculer dans la zone d’alerte renforcĂ©e. ©StĂ©phanie HourdeauPour le personnel hospitalier, pour les mĂ©decins de ville, et ceux de campagne, une pandĂ©mie c’est rude. Mais si vous ajoutez Ă  cela une Ă©pidĂ©mie supplĂ©mentaire qui commence Ă  gagner l’ensemble de la France, vous obtenez un cocktail de virus trĂšs trĂšs explosif. Car si chaque jour, des records de contaminations au Covid-19 tombent, la grippe elle aussi grimpe dans toutes les rĂ©gions. Dans son bulletin Ă©pidĂ©miologique hebdomadaire, SantĂ© publique France SPF indique, ce mercredi 5 janvier 2022, que toutes les rĂ©gions de France, sauf la Corse, sont a minima en stade prĂ©-Ă©pidĂ©mique. L’Île-de-France, l’Auvergne-RhĂŽne-Alpes et l’Occitanie sont eux en stade Ă©pidĂ©mique. Taux d’incidence en nette progressionSurtout, la grippe progresse. D’un taux d’incidence Ă  64 pour 100 000 habitants il y a deux semaines, les syndromes grippaux concernaient dĂ©sormais 106 personnes sur 100 000 la semaine derniĂšre, selon le rĂ©seau Sentinelles. VidĂ©os en ce moment sur ActuAlors que sur la saison 2020-2021 il n’y avait pas eu d’épidĂ©mie, Olivier Bouchaud, infectiologue, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l’hĂŽpital Avicenne de Bobigny, estime que cette annĂ©e est diffĂ©rente ». L’an dernier, les mesures barriĂšre Ă©taient efficaces, il y a eu peu de diffusion du virus », note le professeur contactĂ© par Mais le relĂąchement de ces derniers mois a conduit Ă  plus de cas de grippe. » Une situation comparable Ă  l’avant-pandĂ©mie de Covid pour Élise Launay, professeure dans le service pĂ©diatrie gĂ©nĂ©rale et infectiologie au CHU de Nantes. C'est comparable Ă  ce qu'il se passait avant qu'on soit tous rappelle qu’actuellement, nous ne sommes qu’au dĂ©but de cette Ă©pidĂ©mie de davantage de cas graves ? Pendant un an et demi donc, ce virus a Ă©tĂ© quasi-absent de l’hiver. Il n’a pas circulĂ©, et l’immunitĂ©, relativement courte, que confĂšre la grippe quand on l’attrape n’est plus quoi inquiĂ©ter le professeur Olivier Bouchaud Il y a un affaiblissement de l’immunitĂ© et la crainte de davantage de formes graves. Il y a aussi un surrisque de mortalitĂ©, notamment chez les personnes plus vulnĂ©rables ». Mais la population a quand mĂȘme continuĂ© Ă  se faire vacciner », remarque Élise LaunayLa semaine passĂ©e, environ 2 500 passages aux urgences ont Ă©tĂ© constatĂ©s, indique SantĂ© Publique France. Des passages qui ont entraĂźnĂ© 309 hospitalisations. Toujours selon SPF, depuis le dĂ©but de la surveillance annuelle, le 4 octobre 2021, 53 personnes ont Ă©tĂ© admises en les services pĂ©diatriques, le plus dur semble passĂ©. La bronchiolite nous a davantage submergĂ© que la grippe », explique la professeure Elise Launay, qui reconnait que cela reste toujours une surcharge supplĂ©mentaire ». Il faut ĂȘtre trĂšs prĂ©cautionneux avec les enfants "fragiles" et ceux de moins de 1 symptĂŽmes, quels modes de transmission ?"Le problĂšme de la grippe, c'est que les symptĂŽmes sont exactement les mĂȘmes que ceux du Covid", prĂ©cise Olivier Bouchaud, infectiologue. Maux de tĂȘte ou de gorge, toux, nez qui coule, "la seule diffĂ©rence c'est la perte de goĂ»t et de l'odorat. Et encore, cela peut arriver sur quelques cas", admet le professeur. Pour ce qui est de la transmission, "la grippe se transmet par gouttelettes", explique Elisa Launay, infectiologue. "Elle est moins contagieuse que le variant Omicron". Pour les deux, les gestes barriĂšres et surtout la vaccination permettent de prĂ©munir de la hĂŽpitaux et les mĂ©decins surchargĂ©s ? C’est lĂ  que le bat blesse. Les hĂŽpitaux et les gĂ©nĂ©ralistes doivent dĂ©jĂ  naviguer aux flux et reflux du Covid-19, ils pourraient avoir du mal Ă  gĂ©rer la pression d’une Ă©pidĂ©mie grippale. Nous sommes trĂšs inquiets », souffle Christophe Prudhomme, porte-parole de l’association des mĂ©decins urgentistes de France Amuf, lui mĂȘme officiant Ă  Bobigny Seine-Saint-Denis. La grippe provoque une hausse non-nĂ©gligeable de notre lui, l’hĂŽpital est saturĂ©, non seulement par les cas de coronavirus, mais aussi car il y a beaucoup d’appel en plus de ceux pour le Covid ». L’infectiologue Olivier Bouchaud dresse un constat similaire Le personnel, touchĂ© par la vague Omicron pourrait aussi l’ĂȘtre par la grippe, il va se rarĂ©fier ».Si une vague de grippe venait Ă  toucher les soignants Ă  l’hĂŽpital, alors les urgences seraient trĂšs vite surchargĂ©es. Et la situation des hĂŽpitaux est similaire pour les mĂ©decins de ville », souligne Olivier Bouchaud. Les personnes atteintes par Omicron vont gĂ©nĂ©ralement voir des gĂ©nĂ©ralistes, qui doivent gĂ©rer Ă©galement la grippe, plus les patients habituels. » Sans parler du risque d’attraper l’un de ces virus, ce qui contraindrait la patientĂšle Ă  se rediriger vers
 les urgences. Un cercle vicieux en somme. Christophe Prudhomme, trĂšs remontĂ© contre la politique gouvernementale, assure que la seule solution serait de remettre un hĂŽpital Ă  l’agonie, sur pied ».Il n'y a pas assez de mĂ©decins en ville, ni aux urgences. Avec l’épidĂ©mie de grippe qui advient, ça va ĂȘtre trĂšs compliquĂ© », lance le mĂ©decin urgentiste. Et nous ne sommes qu’au dĂ©but de l’hiver. » Cet article vous a Ă©tĂ© utile ? Sachez que vous pouvez suivre Actu dans l’espace Mon Actu . En un clic, aprĂšs inscription, vous y retrouverez toute l’actualitĂ© de vos villes et marques favorites.
CETTEANNÉE ENCORE, LA GRIPPE VA FAIRE TRÈS MAL. FLY GRIP - 07/19 En complĂ©ment du vaccin, apprenez les gestes barriĂšres Se laver les mains rĂ©guliĂšrement Utiliser un mouchoir Ă 
Chaque année, la Polynésie française enregistre deux épisodes de grippe un premier en début d'année et un second aux environs du mois d'août. Une campagne de vaccination est ouverte jusqu'à la fin du mois de janvier 2022. Les cabinets de médecins et pharmacies ne désemplissent pas en ce mois de janvier 2022. Certaines officines sont déjà en rupture pour certains médicaments, comme le "viks" par exemple, remÚde trÚs populaire en Polynésie. Les clients viennent en nombre pour faire leurs stocks de ra'au contre les maux grippaux. Une épidémie saisonniÚre est en cours au fenua, avec un cas hospitalisé. Rien d'étonnant en cette saison, qui coïncide avec les retours de vacances et un important brassage de population. "C'est habituel parce qu'il y a un gros brassage de population avec les retours de métropole, il y a les gens qui sont malades là-bas et qui ramÚnent les virus" explique un pharmacien. Ecoutez le reportage Miri Tumatariri Papier radio épidémie de grippe Chaque année, la Polynésie française enregistre deux épisodes de grippe un premier en début d'année, provenant de l'hémisphÚre nord et un second en août, provenant de l'hémisphÚre sud. Il est possible de se faire vacciner contre la grippe. Une vaccination gratuite pour les plus de 60 ans, les femmes enceintes ainsi que les personnes en longue maladie. Une campagne de vaccination est ouverte jusqu'à la fin du mois de janvier 2022. Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site de la Direction de la santé.

Lagrippe aviaire avait dĂ©jĂ  fait de la saison 2020-2021 une annĂ©e noire. PrĂšs de 500 Ă©levages touchĂ©s par la grippe – constituant autant de foyers possibles de transmissions -avaient Ă©tĂ© repĂ©rĂ©s, 3,5 millions de volailles avaient Ă©tĂ© abattues. Des records dĂ©sormais largement dĂ©passĂ©s. Le 10 mars, la France comptait

La grippe est Ă  nos portes la saison dĂ©bute souvent en novembre dans l’hĂ©misphĂšre nord. Or, c’est une maladie grave, qui tue des centaines de personnes chaque annĂ©e au QuĂ©bec. Surtout des grands malades plus Ă  risque de complications. Heureusement, il y a un vaccin, que je vais d’ailleurs recevoir dans les jours qui viennent. Et vous? Êtes-vous contre la grippe
 ou contre le vaccin ? Disons-le tout de suite si vous faites partie des groupes Ă  risque, vous devriez vous faire vacciner. Voyons pourquoi. On est malade quand on a la grippe Quand je demande Ă  des patients s’ils ont dĂ©jĂ  eu la grippe, certains rĂ©flĂ©chissent longuement. Pas besoin. GĂ©nĂ©ralement, quand vous avez eu la grippe, vous vous en souvenez. Longtemps. Rien Ă  voir avec un rhume. La grippe, ça cloue gĂ©nĂ©ralement au lit quelques jours pour une bonne raison difficile de se lever Ă  cause des douleurs musculaires. Environ 10 Ă  15 % des gens vont attraper le virus durant une saison de grippe moyenne. Le virus de l’influenza, responsable de la grippe, cause donc les symptĂŽmes suivants fiĂšvre souvent Ă©levĂ©e, toux, courbatures musculaires parfois intenses, fatigue, ainsi que des maux de tĂȘte et un mal de gorge. Ça commence souvent assez rapidement et on n’a vraiment pas le goĂ»t d’aller travailler, quand on peut se lever du lit. Évidemment, c’est bien pire pour les hommes on fait des blagues, mais certaines Ă©tudes montrent qu’effectivement, la grippe d’homme existe. Mais je ne l’ai jamais rencontrĂ©e perso, n’ayant jamais eu la grippe. Quoi faire ? Alors on fait quoi, quand on a la grippe ? Pas grand-chose. Le moins possible. D’ailleurs, vous ne pourrez pas en faire beaucoup plus. Mais sinon, tentez d’attĂ©nuer les symptĂŽmes avec de l’acĂ©taminophĂšne on peut aller chez les adultes jusqu’à 1 000 mg quatre fois par jour sans problĂšme ou de l’ibuprofĂšne 400 mg quatre fois par jour est gĂ©nĂ©ralement bien tolĂ©rĂ©, et on peut mĂȘme alterner les deux. Essayez au moins d’épargner votre famille et vos amis. Restez donc Ă  la maison, pour commencer. Ça durera une bonne semaine, alors louez-vous des films et ouvrez un gros livre. Des mesures toutes simples sont efficaces. Toussez ou Ă©ternuez dans le pli de votre coude ou le haut de votre bras, et non dans vos mains avant de toucher Ă  tout ce qu’il y a dans la maison. Parlant des mains, lavez-les souvent, c’est un moyen de transmission privilĂ©giĂ©. Surtout si vous avez la fĂącheuse habitude de tousser ou d’éternuer dedans. Et si vous avez Ă  consulter, munissez-vous d’un masque ou prenez-en un Ă  l’arrivĂ©e Ă  l’urgence ou en clinique les autres patients vous remercieront. Enfin, nettoyez rĂ©guliĂšrement les endroits oĂč vos mains passent souvent poignĂ©es de porte, comptoir, robinets, etc. On me demande souvent s’il existe un antiviral pour aider Ă  lutter contre la grippe. En fait, certains antiviraux peuvent aider, surtout s’il est pris dans les premiĂšres 48 heures des symptĂŽmes ils attĂ©nuent un peu l’intensitĂ© de la grippe, mais les donnĂ©es sont moins claires sur les complications ou la transmission. Pas de miracle cependant, et c’est peu utile pour la plupart des gens en bonne santĂ© la plupart vont bien s’en tirer sans aucun mĂ©dicament spĂ©cifique. Se faire vacciner ou pas La grande question, ça reste la vaccination. Or, beaucoup de gens sont contre » les vaccins. Juste comme ça. Comme on est contre la pluie. Souvent, c’est parce qu’ils craignent les vaccins. Notamment des complications ». Ils croient aussi que les vaccins contre la grippe peuvent
 donner la grippe. D’autres le pensent tout Ă  fait inutile. Ils ont tous un peu tort. Les raisons de se mĂ©fier des vaccins sont parfois irrationnelles. La plus grande vague de mĂ©fiance tourne autour du lien prĂ©sumĂ© entre le vaccin contre la rougeole et l’autisme. Soyons clairs ce lien n’existe pas. Il fut essentiellement basĂ© sur une Ă©tude bidon du docteur Andrew Wakefield publiĂ©e en 1997, un gastroentĂ©rologue anglais qui se targuait de virologie, dont la triste contribution scientifique » fut reconnue bien des annĂ©es plus tard comme une fraude. Le chercheur Ă©tait mĂȘme en conflit d’intĂ©rĂȘts. Mais le mal Ă©tait fait, et dans l’esprit de beaucoup de gens, le lien causal existe pour toujours, sans doute Ă  cause du lien temporel entre la reconnaissance de l’autisme et le vaccin donnĂ© Ă  18 mois. Nier cela revient parfois Ă  participer Ă  un complot du silence. Triste rĂ©sultat une baisse de la vaccination contre la rougeole et une recrudescence de la maladie. Une autre source d’inquiĂ©tude, plus rationnelle, est le lien prĂ©sumĂ© entre certains vaccins, comme celui pour la grippe, et le syndrome de Guillain-BarrĂ©, un problĂšme neurologique qui peut ĂȘtre grave. Mais ce lien est trĂšs mal documentĂ© tout au plus a-t-on observĂ© parfois, certaines annĂ©es, un lien statistique entre une lĂ©gĂšre hausse du taux de Guillain-BarrĂ© et la vaccination. Mais il faut savoir que le syndrome de Guillain-BarrĂ© est toujours prĂ©sent et souvent causĂ© par
 les virus eux-mĂȘmes. Et le lien causal n’est pas dĂ©montrĂ© avec le vaccin. Sinon, on a beaucoup craint les adjuvants », ajoutĂ©s aux vaccins pour rehausser la rĂ©action immunologique la crĂ©ation d’anticorps. Leur toxicitĂ© n’est pas non plus dĂ©montrĂ©e. Et la plupart des vaccins offerts actuellement n’en contiennent pas. Un autre aspect qui fait sourciller lĂ©gitimement est l’influence des compagnies pharmaceutiques qui fabriquent ces vaccins. Il va sans dire que les campagnes massives de vaccination gonflent les coffres de ces compagnies. Par ailleurs, les conflits d’intĂ©rĂȘts exposĂ©s entre des experts de l’OMS et certaines compagnies en ont fait tiquer plusieurs lors de la crise du H1N1 ». Avec raison. Enfin, pour certains vaccins trĂšs onĂ©reux, on se demande vraiment s’il vaut la peine d’investir autant. On ne peut donc exclure cette influence, bien que pour la grippe annuelle, les donnĂ©es scientifiques sont assez solides. Il faut bien le dire, les vaccins comptent parmi les traitements mĂ©dicaux non seulement les plus efficaces, mais aussi les plus sĂ©curitaires. Les rĂ©actions indĂ©sirables sont vraiment exceptionnelles et, en fait, beaucoup plus rares que pour beaucoup de traitements courants. Par exemple, la mortalitĂ© associĂ©e Ă  un cathĂ©tĂ©risme cardiaque courant tourne autour de 1 sur 1 000 patients. Ce qui veut dire que pour chaque million de cathĂ©ters, 1 000 personnes dĂ©cĂšdent. Ce n’est pas rien et c’est vrai pour beaucoup d’interventions mĂ©dicales. Il faut donc peser les risques et les avantages, et les avantages dĂ©passent gĂ©nĂ©ralement de beaucoup les risques. Bien sĂ»r, on vaccine beaucoup plus de gens qu’on ne fait de cathĂ©tĂ©risme cardiaque. Alors quand on vaccine des millions de personnes, on peut penser que certains effets secondaires rares peuvent survenir et sont plus apparents, s’agissant souvent de gens sans problĂšme aigu. Mais je suis bien d’accord qu’il faut toujours peser les risques et les avantages de la vaccination. C’est du cas par cas. Tout simplement. Dans le cas du vaccin pour la grippe, les risques sont toujours minimes, alors que pour certains groupes Ă  risque, les avantages sont clairs. Les vaccins au menu en 2013 Les vaccins contemporains contre la grippe sont trivalents », couvrant les quelques souches virales qui causeront probablement la grippe de la saison qui s’en vient, notamment basĂ©es sur l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente et la saison grippale de l’hĂ©misphĂšre sud. On trouve en 2013 deux souches de grippe A » H3N2 et H1N1 et une souche d’une des deux lignĂ©es de grippe B Yamagata ou Victoria. Sept vaccins injectables sont donc approuvĂ©s au Canada, en plus d’un vaccin relativement nouveau, administrĂ© non par injection mais par vaporisation nasale, pour ceux et celles qui souffrent de phobie des aiguilles. Cette version sans douleur » sera offerte gratuitement aux enfants de 2 Ă  17 ans Ă  risque de complications de la grippe. Au fait, un seul des vaccins contient de l’adjuvant », pour les personnes de plus de 65 ans, notamment afin d’augmenter leur rĂ©action immunitaire. Les seules rĂ©elles contrindications? Les allergies sĂ©vĂšres antĂ©rieures au vaccin ou bien une allergie aux Ɠufs, puisque les petits virus sont Ă©levĂ©s » sur les protĂ©ines d’oeufs, dont il restera des traces dans le produit final. Qui devrait se faire vacciner ? Entendons-nous sur le fait que les risques sont minimes et en rĂ©alitĂ© bien infĂ©rieurs Ă  ceux d’à peu prĂšs tous les traitements mĂ©dicaux. Admettons aussi qu’il ne s’agit pas de traitements trĂšs onĂ©reux. Reste Ă  voir qui a un avantage rĂ©el Ă  ĂȘtre vaccinĂ©. Pas tout le monde surtout ceux qui appartiennent aux groupes Ă  risque ». C’est-Ă -dire les personnes qui risquent de subir davantage de complication de la grippe. C’est d’ailleurs ceux pour qui le vaccin est couvert par l’assurance-maladie les enfants de 6 Ă  23 mois ; les personnes affectĂ©es par certaines maladies chroniques maladies pulmonaires ou cardiaques, ou cancer, par exemple ; les femmes enceintes en bonne santĂ© au deuxiĂšme ou troisiĂšme trimestre de grossesse ; les personnes ĂągĂ©es de 60 ans et plus ; l’entourage des personnes Ă  risque et des enfants de moins de 6 mois et les travailleurs de la santĂ©. Pour la plupart de ces groupes, les avantages sont assez bien Ă©tablis. Les donnĂ©es pour le groupe des personnes de plus de 60 ans en bonne santĂ© sont toutefois moins claires, mais la plupart des experts s’entendent pour dire qu’il y a des avantages — et que ces avantages dĂ©passent les inconvĂ©nients. Pour ce qui est des travailleurs de la santĂ©, le vaccin est suggĂ©rĂ© afin de limiter la transmission virale — bien qu’il ne soit pas obligatoire —, contrairement Ă  ce qu’on voit ailleurs, notamment aux États-Unis ou en Colombie-Britannique, oĂč un juge vient d’ailleurs de confirmer que le vaccin peut ĂȘtre imposĂ©. Il faut tout de mĂȘme mentionner que les donnĂ©es appuyant une stratĂ©gie de vaccination obligatoire ne sont pas si claires, mais qu’elles sont appuyĂ©es par les experts. Chez nous, certains groupes de professionnels de la santĂ© se font d’ailleurs assez peu vacciner, oĂč le taux moyen serait actuellement de 44 %. Le ministre RĂ©jean HĂ©bert compte d’ailleurs agir pour augmenter la couverture. La protection offerte par le vaccin Va pour la sĂ©curitĂ© et les groupes Ă  risque, mais vous vous demandez sĂ»rement est-ce que le vaccin est efficace ? Qui n’a pas eu une grosse grippe » aprĂšs avoir Ă©tĂ© vaccinĂ© ? C’est mĂȘme un argument souvent avancĂ© pour refuser la vaccination. Plusieurs raisons peuvent expliquer un tel Ă©chec » du vaccin. D’abord, le choix » des souches vaccinales est-ce le bon ? C’est toujours un pari. Ensuite, la protection contre les souches couvertes n’est pas de 100 %. Elle tourne plutĂŽt autour de 80 %, permettant soit d’éviter la grippe 4 fois sur 5, ou d’attĂ©nuer la grippe chez les autres. Enfin, il faut savoir que d’autres virus que l’influenza, donc non couverte par les vaccins, causent des syndromes cliniques similaires Ă  ceux de la grippe. Par ailleurs, des Ă©tudes rĂ©centes montrent que le vaccin pourrait agir non seulement contre le virus de la grippe
 mais pour contrer la maladie cardiaque. On sait depuis plusieurs annĂ©es que l’athĂ©rosclĂ©rose, une atteinte des vaisseaux sanguins conduisant Ă  l’infarctus et Ă  l’AVC, est en fait une maladie inflammatoire des vaisseaux sanguins qui peut ĂȘtre accĂ©lĂ©rĂ©e par un Ă©pisode d’infection virale, souvent retrouvĂ© dans les semaines qui prĂ©cĂšdent la crise cardiaque. Or, des chercheurs de Toronto viennent de montrer que le vaccin anti-grippal pourrait diminuer le risque d’infarctus ou de dĂ©cĂšs cardiaque de maniĂšre assez tangible — de prĂšs de moitiĂ© —, le taux passant de 4,7 % Ă  2,9 %. Cela explique peut-ĂȘtre en partie l’efficacitĂ© dĂ©montrĂ©e du vaccin chez les grands malades, notamment les cardiaques. Alors, libre Ă  vous de vous faire vacciner ou pas. Si vous faites partie des groupes Ă  risque, vous devriez y songer sĂ©rieusement. Appelez votre mĂ©decin ou rendez-vous au CLSC. Pour les autres, c’est un choix. Quant Ă  moi, je vais me faire donner la piqure dans les prochains jours. Pour Ă©viter de l’attraper, d’abord, Ă©tant plutĂŽt exposĂ© dans mon mĂ©tier. Mais aussi de le transmettre. Mais je suis curieux et vous, allez-vous vous faire vacciner ? Je lance la discussion. * Pour le site du MSSS sur la grippe et d’autres informations. Voir aussi l’excellent et amusant blogue du Pharmachien sur les les vaccins en cliquant ici. Pour ma chronique Ă  propos de la grippe Ă  Medium Large Pour me suivre sur Twitter. Pour me suivre sur Facebook. Pour me lire dans PrivĂ© de soins sur du papier qui sent l’encre ou numĂ©rique.
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Parcequ'on se considÚre en bonne santé et que l'on n'a pas le souvenir des symptÎmes, nous sommes encore nombreux à estimer ne pas Cette année encore, la grippe va faire trÚs mal
Si nous avons bel et bien laissĂ© 2020 derriĂšre nous, le coronavirus pour sa part est toujours bien prĂ©sent, et en expansion. L'OMS prĂ©vient que ce dĂ©but d'annĂ©e ne sera pas aussi serein que certains pourraient s'y une annĂ©e Ă©prouvante, l'arrivĂ©e de 2021 a Ă©tĂ© vĂ©cue par beaucoup comme l'enterrement symbolique de ce que les Anglophones ont surnommĂ© le dumpster fire feu de poubelle » qu'Ă©tait 2020. En dĂ©pit de ce passage rituel, si certaines habitudes seront modifiĂ©es et de bonnes rĂ©solutions adoptĂ©es, la pandĂ©mie, elle, continue de suivre son cours inexorable en faisant fi du calendrier. AprĂšs une circulation importante des personnes durant les fĂȘtes, il ne fait nul doute pour l'OMS que le dĂ©but de l'annĂ©e pourrait se rĂ©vĂ©ler particuliĂšrement dĂ©but d'annĂ©e pas si sereinAinsi qu'en tĂ©moignent aisĂ©ment les statistiques, loin de s'amĂ©liorer, la situation continue au contraire de se dĂ©grader dans de nombreux pays. Aux États-Unis, les chiffres ont explosĂ© suite Ă  la cĂ©lĂ©bration de Thanksgiving et des fĂȘtes de fin d'annĂ©e, avec un quart de million de nouveaux cas d'infection dĂ©clarĂ©s chaque jour. Le Japon s'apprĂȘte Ă  dĂ©clarer un nouvel Ă©tat d'urgence alors que le pays connaĂźt sa troisiĂšme vague la plus meurtriĂšre. Quant Ă  l'Europe, elle est, avec les AmĂ©riques, le continent connaissant la pire recrudescence du virus. En France seulement, prĂšs de morts ont Ă©tĂ© dĂ©nombrĂ©s au cours de la derniĂšre semaine. Plusieurs pays connaissent une transmission incroyablement intense », commente Maria Van Kerkhove, chargĂ©e de la gestion de la pandĂ©mie Ă  l'OMS. On observe des chiffres vraiment effrayants en termes de cas, d'hospitalisations et d'admissions dans les unitĂ©s de soins intensifs. » Et avec l'issue des cĂ©lĂ©brations en famille, annonce-t-elle, il faudra s'attendre Ă  ce qu'ils empirent plus encore. Nous commençons Ă  le voir maintenant et nous le verrons dans les prochaines semaines. Dans de nombreux pays, la situation va s'aggraver avant de s'amĂ©liorer. » La cavalerie arrive... »La distribution des vaccins autour du globe constituera indĂ©niablement un Ă©lĂ©ment crucial dans le ralentissement, et, espĂ©rons-le, l'endiguement de la pandĂ©mie ; mais en attendant, les experts appellent les citoyens Ă  rester vigilants.“Nous avons encore trois ou six mois d’un chemin trĂšs, trĂšs difficile devant nous. Mais nous pouvons y arriver. Nous avons encore trois ou six mois d'un chemin trĂšs, trĂšs difficile devant nous. Mais nous pouvons y arriver », dĂ©clare Michael Ryan, chargĂ© des situations d'urgence Ă  l'OMS. La cavalerie arrive, les vaccins arrivent, mais, pour la plupart des gens dans le monde, ils ne sont pas encore lĂ . » La prudence reste donc de mise pendant encore plusieurs mois, en admettant qu’une frange suffisamment importante de la population accepte de se faire les mutations rĂ©centes du virus sont elles aussi porteuses de mauvaises nouvelles, avec deux nouveaux variants plus contagieux que leur forme souche D614G. Fort heureusement, la sĂ©vĂ©ritĂ© de la maladie ne paraĂźt pas affectĂ©e par ces changements et rien ne semble indiquer que leur circulation mette dangereusement en pĂ©ril l'efficacitĂ© des vaccins dĂ©veloppĂ©s Ă  ce jour. Il y a donc de l'espoir pour cette nouvelle annĂ©e qui commence, mais la victoire ne s'obtiendra qu'au prix d'un effort collectif !Covid-19 quels sont les scĂ©narios pour 2021 ?Article de CĂ©line Deluzarche, publiĂ© le 5 janvier 2021L'Ă©mergence du coronavirus en janvier 2020 a pris le monde entier par surprise. DurĂ©e de l'immunitĂ©, mode de transmission, contagiositĂ© et effets secondaires... Les dĂ©couvertes et mystĂšres se sont accumulĂ©s ; l'Ă©pidĂ©mie connaĂźt des sautes d'humeur difficiles Ă  anticiper. Entre espoir de la vaccination et craintes de mutation, que peut-on espĂ©rer pour l'an 2 » de la Covid ?Personne n'avait vu venir la pandĂ©mie de coronavirus et encore moins prĂ©vu son Ă©volution en 2020. Nombre d'experts pensaient au dĂ©part qu'elle se limiterait au Sud-Est asiatique, comme le prĂ©cĂ©dent SRAS, puis ils nous ont expliquĂ© que le virus allait dĂ©clencher des dizaines de millions de morts en quelques mois. Rien de tout cela ne s'est passĂ©. Il apparaĂźt donc difficile de faire des prĂ©visions pour l'an prochain. Mais, grĂące aux avancĂ©es extraordinairement rapides de la science, on en sait quand mĂȘme un peu plus sur la façon dont cela pourrait se dĂ©rouler en vaccination va-t-elle faire oublier le virus ? D'ici un mois, 2,25 millions de personnes auront Ă©tĂ© vaccinĂ©es [en IsraĂ«l]. Une fois cela fait, nous pourrons sortir du coronavirus, rouvrir l'Ă©conomie, et faire des choses qu'aucun autre pays monde ne pourra faire », prophĂ©tise le Premier ministre israĂ©lien Benjamin Netanyahou. Certains pays, qui ont accĂ©lĂ©rĂ© la cadence en matiĂšre de vaccination, pourraient bien arriver rapidement Ă  une immunitĂ© collective leur permettant de retrouver une vie presque normale. Selon une Ă©tude italienne, dĂ©cĂšs seront ainsi Ă©vitĂ©s en 2021 en Italie grĂące Ă  la vaccination si 80 % de la population Ă  risque se la France risque de sortir dans les derniers de l'Ă©pidĂ©mie, Ă©tant donnĂ© son peu d'empressement Ă  vacciner et la rĂ©ticence de sa population qui est la plus sceptique au monde sur les vaccins. Il faut donc probablement s'attendre Ă  subir encore plusieurs vagues dans l'Hexagone, ainsi que des confinements ou couvre-feux, et Ă  devoir rester masquĂ© un bon bout de mutation du virus ?C'est la grande crainte des scientifiques une mutation du virus qui rendrait le vaccin inopĂ©rant ou plus dangereux. L'apparition rĂ©cente d'une nouvelle variante du virus en Angleterre, jusqu'Ă  70 % plus transmissible, a ainsi entraĂźnĂ© le confinement gĂ©nĂ©ralisĂ© du pays en dĂ©cembre. Mais, jusqu'Ă  prĂ©sent, ces mutations restent trop mineures pour affecter l'efficacitĂ© du vaccin. NĂ©anmoins, le risque est Ă©levĂ© plus de mutations du Sars-CoV-2 ont Ă©tĂ© sĂ©quencĂ©es dans le monde et plus le virus circule, plus il est susceptible de muter pour s'adapter Ă  son de quoi affoler les fabricants de vaccins. Nous sommes capables de dĂ©livrer un nouveau vaccin en six semaines », affirme ainsi le dirigeant de BioNTech, le laboratoire allemand Ă  l'origine avec Pfizer du premier vaccin contre la Covid-19. La technologie du vaccin Ă  ARN messager a, en effet, rĂ©volutionnĂ© l'industrie avec un dĂ©veloppement en un temps record et une efficacitĂ© inĂ©galĂ©e par rapport aux vaccins traitements plus efficaces ?Plus d'un an aprĂšs le dĂ©but de l'Ă©pidĂ©mie de Covid-19, on ne dispose toujours d'aucun mĂ©dicament rĂ©ellement efficace pour combattre l'infection, malgrĂ© les essais cliniques actuellement en cours, selon le site Covid-nma, animĂ© par Cochrane France. Les antiviraux testĂ©s lors de l'essai Solidarity pilotĂ© par l'OMS remdesivir, lopinavir, interfĂ©ron bĂȘta et hydroxychloroquine se sont rĂ©vĂ©lĂ©s inefficaces. Plus aucune nouvelle non plus du fameux mĂ©dicament miracle de l’Institut Pasteur. Le Regeneron, le cocktail d'anticorps qui a Ă©tĂ© administrĂ© Ă  Donald Trump, a montrĂ© une certaine efficacitĂ© pour les patients hospitalisĂ©s sous oxygĂšne. La piste de la vitamine D a Ă©galement Ă©tĂ© avancĂ©e. Il n'y aura pas de remĂšde miracle », assurait dĂ©but septembre Thomas Cueni, directeur gĂ©nĂ©ral de l'IFPMA FĂ©dĂ©ration internationale des producteurs et des organisations pharmaceutiques. Nous aurons besoin de diffĂ©rents traitements, destinĂ©s Ă  diffĂ©rents types de groupes de patients et Ă  diffĂ©rentes Ă©tapes de progression de la maladie ».Quelle dynamique pour la pandĂ©mie ? Le virus circule en France Ă  une vitesse que mĂȘme les prĂ©visions les plus pessimistes n'avaient pas anticipĂ©e », expliquait Emmanuel Macron le 28 octobre dernier pour justifier le deuxiĂšme confinement. Sauf que quelques jours aprĂšs, avant mĂȘme que l'on puisse voir l'effet de ce dernier, la courbe flĂ©chissait de maniĂšre tout aussi nombreux modĂšles Ă©pidĂ©miologiques ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©s pour tenter de prĂ©dire l'Ă©volution de l'Ă©pidĂ©mie, mais le nombre de paramĂštres est tellement Ă©levĂ© respect des mesures barriĂšres, taux de reproduction efficace, formation de clusters, part des asymptomatiques... que tous se sont rĂ©vĂ©lĂ©s assez inopĂ©rants. En mars, l'Ă©quipe de l'Ă©pidĂ©miologiste Neil Ferguson, de l'Imperial College Ă  Londres, prĂ©voyait jusqu'Ă  morts en France en l'absence de mesures d'endiguement. On peut tout de mĂȘme avancer prudemment quelques prĂ©visions. On suppose, par exemple, que le temps froid et humide joue un rĂŽle dĂ©favorable, ce qui devrait amener Ă  un ralentissement de la circulation du virus cet Ă©tĂ©, qui sera Ă©galement encouragĂ© par la progression des campagnes de vaccination. Le virus est avec nous pour toujours », prĂ©venait Catherine Smallwood, responsable des situations d'urgence Ă  l'OMS-Europe, en novembre dernier. Les deux hypothĂšses dominantes sont une Ă©radication du virus par la vaccination ou l'immunitĂ© collective, ou bien encore une banalisation du virus qui deviendrait endĂ©mique comme ceux du par ce que vous venez de lire ?
Grippeaviaire: pourquoi n'arrive-t-on pas Ă  la contenir annĂ©e aprĂšs annĂ©e? Avec trois Ă©pidĂ©mies en cinq ans, la grippe aviaire est un mal bien connu des Ă©leveurs. Des mesures ont Ă©tĂ© Anonymous1408945, le 1/24/2011$👋 J'aimerais avoir vos avis et/ou tĂ©moignages sur la meilleure façon de rĂ©gler un conflit avec le milieu enseignant. J'ai jusque lĂ  toujours jouer la carte du dialogue en essayant au maximum de ne pas me mettre en porte-Ă -faux par rapport Ă  l'Ă©quipe enseignante. Maintenant, je suis dans l'impasse car je me retrouve confrontĂ©e Ă  un couple proviseur/prof principal qui utilise la menace et l'intimidation comme seul moyen de communication. Je ne voudrais pas que soit discutĂ© ici du bien fondĂ© du hacharnement que subit mon fils mais plutĂŽt des solutions que j'ai de l'aider Ă  s'en sortir pour pouvoir passer son bac cette annĂ©e il est en terminale. De nombreuses personnes Ă©lĂšves, parent d'Ă©lĂšves dĂ©lĂ©guĂ©s, profs, rĂ©prouvant ce qui se passe, nous ont prĂ©venues amicalement que ces 2 personnes ne mĂ©nageaient pas leurs efforts pour faire renvoyer mon fils. Malheureusement, ces personnes refusent de tĂ©moigner par peur des reprĂ©sailles. Le parent dĂ©lĂ©guĂ© m'a nĂ©anmoins proposĂ© de m'accompagner Ă  un Ă©ventuel RDV avec le proviseur que nous n'arrivons pas Ă  obtenir mais sera plutĂŽt dans une attitude comme il me l'a dit "Ă  courber l'Ă©chine pour gagner du temps jusqu'au bac". Il sait aussi qu'il y a beaucoup d'infractions dans les sanctions concernant mon fils, que ces sanctions pourraient ĂȘtre contestĂ©es auprĂšs des instances supĂ©rieures mais il argumente que les dĂ©lais de recours sont si longs que de toute façon, mon fils aura perdu 1 annĂ©e minimum. Il m'a prĂ©venue aussi que ce type de procĂ©dure Ă©tait trĂšs mal vue et que ça compromettrait l'entrĂ©e de mon fils aprĂšs le bac dans certains lycĂ©es et ça je veux bien croire qu'il existe un dossier scolaire officiel et un autre officieux... J'ai un doute car moi j'ai l'impression que ce proviseur marche au rapport de force et je me demande si courber le dos est la bonne solution. Est-ce que finalement avec ce type de personne nuisible, il ne faut pas montrer les dents et ça je sais faire aussi si il faut.... Mon fils est desespĂ©rĂ© et ne va plus au lycĂ©e car il a peur d'ĂȘtre encore provoquĂ© une fois de trop et de craquer en se mettant en faute. Aidez-nous...Anonymous1408945, le 1/24/2011D'abord mille excuses pour la faute sur acharnement dans le titre en plus $🙁 , en fait je pensais Ă  harcĂšlement en l'Ă©crivant... Pour rĂ©pondre, il est entrĂ© dans ce lycĂ©e agricole l'an dernier. Cette prof a Ă©tĂ© "contenue" par le proviseur de l'an dernier qui connaissait comme tout le monde au lycĂ©e son habitude tout les ans de prendre un Ă©lĂšve en grippe et d'essayer de le faire craquer. Cette annĂ©e, changement de proviseur et lĂ , damned, on a rĂ©cupĂ©rĂ© sa soeur jumelle. Elles sont tout Ă  fait sur la mĂȘme longueur d'onde et ne mĂ©nagent pas leurs efforts pour provoquer le renvoi de mon fils. Mon fils a mĂȘme notĂ© un changement de comportement de certains profs avec lui qui jusqu'ici lui Ă©taient favorables et l'avait mĂȘme soutenu. Il est de plus en plus isolĂ©, est devenu peu frĂ©quentable car toujours accusĂ© de tout ce qui se passe au lycĂ©e mĂȘme quand il n'est pas prĂ©sent.... Il ne fait pas bon ĂȘtre son copain en ce moment... Le problĂšme, c'est que, apparemment, les recours officiels sont longs et les dates de bac seront dĂ©passĂ©es pour que mon fils puisse le passer. l'autre problĂšme est qu'avec une exclusion dĂ©finitive, il ne trouvera aucun lycĂ©e agricole admissiondes BTS sur dossier qui le prendra mĂȘme si on a gain de cause par la suite. Bref, c'est l' le 1/24/2011bonsoir et bien si cela est possible, et bien que l'on puisse reprouver cette idĂ©e, si j'etais vous, je courberais ,helas l'echine, jusqu'au bac, et jusqu'Ă  l'entrĂ©e en BTS... et ensuite, seulement, je m'acharnerai Ă  mon tour Ă  harceler ces profs et proviseur... ça doit ĂȘtre possible de porter plainte aprĂšs les faits, en donnant le pretexte des peurs de represailles..Anonymous1408945, le 1/25/2011oui, je suis d'accord avec toi et je pense que ça lui servira de leçon pour l'avenir. Mais quelle leçon au fond... Que ses droits Ă©lĂ©mentaires peuvent ĂȘtre bafouĂ©s impunĂ©ment sous prĂ©texte qu'il n'a pas compris assez vite que dans certains groupes l'Ă©cole, l'entreprise,... il vallait mieux aller dans le sens du vent, savoir s'attirer la sympathie de ses membres les plus nuisibles, aboyer avec la meute et que c'est la loi du plus fort qui prime... Ben oui, ça il a compris c'est sur! Vous savez ça me fait penser Ă  une rĂ©flexion que j'entend souvent quand on parle de femmes battues mais il avait peut-ĂȘtre de bonnes raison pour la battre ou elle l'avait quand mĂȘme un peu cherchĂ©. Il n'y a aucune bonne raison pour battre une femme comme il n'y en a aucune pour vouloir nuire volontairement Ă  un Ă©lĂšve. Je ne suis absolument pas contre les sanctions mais on ne gagne pas le respect des Ă©lĂšves en ne respectant pas leurs droits fondamentaux. Il n'y a que 10 ans que l'Ă©ducation nationale a inclus les rĂšgles fondamentales du droit dans ses rĂ©glements intĂ©rieurs et les profs voient encore ça avec un mauvais oeil... Il n'y a aucun danger Ă  se montrer stricte quand on est juste, rien Ă  craindre si on est Ă©quitable. Vous avez nĂ©anmoins raison, il doit s'interroger sur son comportement et ce qui a pu pousser ces personnes Ă  le prendre en grippe Ă  ce point lĂ . Surtout prendre conscience de l'importance de la communication non verbale regard surtout mais pour l'instant il se sent surtout en danger au lycĂ©e car si il se trouve dans un rayon de 50m oĂč s'est passĂ© une infraction, c'est pour sa pomme accusation sans tĂ©moin ou preuve juste par intuition que ce doit ĂȘtre lui. C'est complĂštement irrĂ©aliste ce qui se passe et avec la passive complicitĂ© du reste du groupe. Je reviens Ă  mon sujet je dois montrer les dents ou courber l'Ă©chine?Anonymous1424561, le 1/24/2011Bonsoir, depuis quand votre fils est il dans cet Ă©tablissement ? Je ne connais pas les conflits qui vous opposent mais je crois que parfois il est nĂ©cessaire d'en appeler un peu plus haut, surtout si l'on pense agir dans le bon sens et pour le bien ĂȘtre de votre fils bien sĂ»r A vous lire...Anonymous1414272, le 1/25/2011En fait c'est pas trĂšs clair, elle lui reproche une attitude arrogante mais elle n'a jamais pu sanctionner mon fils pour propos impolis ou insultant. D'ailleurs, trĂšs vite, il ne rĂ©pondait plus mais lĂ  elle lui reprochait son regard... Elle l'a pris tout de suite en grippe puis se sont enchainĂ©s des 4h de colle pour tout et n'importe quoi ne suit pas les cours assidument en classe, ne travaille pas avec 15 de moyenne, discute, panne de pile calculatrice,... Comme je l'ai expliquĂ©, ça s'est calmĂ© en fin d'annĂ©e derniĂšre sur intervention du proviseur de l'Ă©poque mais cette annĂ©e, c'est reparti de plus belle avec en plus des abaissements de note voire des zĂ©ro ce qu'elle n'a pas le droit de faire. Dire que mon fils est un ange, non pas du tout mais encore une fois, je ne voudrais pas que la discussion dĂ©rive sur oui ou non mĂ©rite-t'il ce qui lui arrive. Il n'y a aucun doute sur le fait que le proviseur et cette professeur agissent en contradiction avec les rĂ©glementations sur les sanctions et tout le monde s'accorde pour dire qu'elles vont trop loin avec mon fils mais ils ne veulent pas tĂ©moigner. Pour rĂ©pondre Ă  keskispass, non on ne peut pas attendre pour faire les recours, on a quelques jours pour faire les dĂ©marches aprĂšs c'est foutu. Donc, soit on s'Ă©crase dĂ©finitivement soit on se lance dans des procĂ©dures trop longues... Avec ce que tu dis ,ça a l'air d'une histoire de fous ! Il est oĂč ce lycĂ©e ? Pour ton fils tu dis qu'il n'est pas un ange .On pourrait faire l'hypothĂšse qu'il y a participe quand mĂȘme Ă  cette histoire de dingues .Dans une relation il y a deux bouts .Il peut au moins s'occuper du sien .Bon courageAnonymous1422911, le 1/26/2011En fait c'est pas trĂšs clair, elle lui reproche une attitude arrogante mais elle n'a jamais pu sanctionner mon fils pour propos impolis ou insultant. D'ailleurs, trĂšs vite, il ne rĂ©pondait plus mais lĂ  elle lui reprochait son regard... Elle l'a pris tout de suite en grippe puis se sont enchainĂ©s des 4h de colle pour tout et n'importe quoi ne suit pas les cours assidument en classe, ne travaille pas avec 15 de moyenne, discute, panne de pile calculatrice,... Comme je l'ai expliquĂ©, ça s'est calmĂ© en fin d'annĂ©e derniĂšre sur intervention du proviseur de l'Ă©poque mais cette annĂ©e, c'est reparti de plus belle avec en plus des abaissements de note voire des zĂ©ro ce qu'elle n'a pas le droit de faire. Dire que mon fils est un ange, non pas du tout mais encore une fois, je ne voudrais pas que la discussion dĂ©rive sur oui ou non mĂ©rite-t'il ce qui lui arrive. Il n'y a aucun doute sur le fait que le proviseur et cette professeur agissent en contradiction avec les rĂ©glementations sur les sanctions et tout le monde s'accorde pour dire qu'elles vont trop loin avec mon fils mais ils ne veulent pas tĂ©moigner. Pour rĂ©pondre Ă  keskispass, non on ne peut pas attendre pour faire les recours, on a quelques jours pour faire les dĂ©marches aprĂšs c'est foutu. Donc, soit on s'Ă©crase dĂ©finitivement soit on se lance dans des procĂ©dures trop longues... Avec ce que tu dis ,ça a l'air d'une histoire de fous ! Il est oĂč ce lycĂ©e ? Pour ton fils tu dis qu'il n'est pas un ange .On pourrait faire l'hypothĂšse qu'il y a participe quand mĂȘme Ă  cette histoire de dingues .Dans une relation il y a deux bouts .Il peut au moins s'occuper du sien .Bon courage â›č â›č â›č Faudrait faire une formation sur le mobbing, toi !!!!Anonymous1414272, le 1/24/2011D'abord mille excuses pour la faute sur acharnement dans le titre en plus , en fait je pensais Ă  harcĂšlement en l'Ă©crivant... Pour rĂ©pondre, il est entrĂ© dans ce lycĂ©e agricole l'an dernier. Cette prof a Ă©tĂ© "contenue" par le proviseur de l'an dernier qui connaissait comme tout le monde au lycĂ©e son habitude tout les ans de prendre un Ă©lĂšve en grippe et d'essayer de le faire craquer. Cette annĂ©e, changement de proviseur et lĂ , damned, on a rĂ©cupĂ©rĂ© sa soeur jumelle. Elles sont tout Ă  fait sur la mĂȘme longueur d'onde et ne mĂ©nagent pas leurs efforts pour provoquer le renvoi de mon fils. Mon fils a mĂȘme notĂ© un changement de comportement de certains profs avec lui qui jusqu'ici lui Ă©taient favorables et l'avait mĂȘme soutenu. Il est de plus en plus isolĂ©, est devenu peu frĂ©quentable car toujours accusĂ© de tout ce qui se passe au lycĂ©e mĂȘme quand il n'est pas prĂ©sent.... Il ne fait pas bon ĂȘtre son copain en ce moment... Le problĂšme, c'est que, apparemment, les recours officiels sont longs et les dates de bac seront dĂ©passĂ©es pour que mon fils puisse le passer. l'autre problĂšme est qu'avec une exclusion dĂ©finitive, il ne trouvera aucun lycĂ©e agricole admissiondes BTS sur dossier qui le prendra mĂȘme si on a gain de cause par la suite. Bref, c'est l'impasse. Bonjour pseudopapri Mais qu'est ce que cette prof lui reproche , Ă  ton fils ? Comment ça s 'est passĂ© dans le reste de sa scolaritĂ© ? C'est un coup de tonnerre dans un ciel clair ?Anonymous1408945, le 1/25/2011Bonjour pseudopapri Mais qu'est ce que cette prof lui reproche , Ă  ton fils ? Comment ça s 'est passĂ© dans le reste de sa scolaritĂ© ? C'est un coup de tonnerre dans un ciel clair ? En fait c'est pas trĂšs clair, elle lui reproche une attitude arrogante mais elle n'a jamais pu sanctionner mon fils pour propos impolis ou insultant. D'ailleurs, trĂšs vite, il ne rĂ©pondait plus mais lĂ  elle lui reprochait son regard... Elle l'a pris tout de suite en grippe puis se sont enchainĂ©s des 4h de colle pour tout et n'importe quoi ne suit pas les cours assidument en classe, ne travaille pas avec 15 de moyenne, discute, panne de pile calculatrice,... Comme je l'ai expliquĂ©, ça s'est calmĂ© en fin d'annĂ©e derniĂšre sur intervention du proviseur de l'Ă©poque mais cette annĂ©e, c'est reparti de plus belle avec en plus des abaissements de note voire des zĂ©ro ce qu'elle n'a pas le droit de faire. Dire que mon fils est un ange, non pas du tout mais encore une fois, je ne voudrais pas que la discussion dĂ©rive sur oui ou non mĂ©rite-t'il ce qui lui arrive. Il n'y a aucun doute sur le fait que le proviseur et cette professeur agissent en contradiction avec les rĂ©glementations sur les sanctions et tout le monde s'accorde pour dire qu'elles vont trop loin avec mon fils mais ils ne veulent pas tĂ©moigner. Pour rĂ©pondre Ă  keskispass, non on ne peut pas attendre pour faire les recours, on a quelques jours pour faire les dĂ©marches aprĂšs c'est foutu. Donc, soit on s'Ă©crase dĂ©finitivement soit on se lance dans des procĂ©dures trop longues...Anonymous1414272, le 1/26/2011 Faudrait faire une formation sur le mobbing, toi !!!! Tu m'as au moins appris quelque chose .Je ne connaissais pas , mais google m'a tout dit .Je me demande si c'est la mĂȘme chose .je connais quand mĂȘme assez bien le milieu scolaire . Le jour oĂč tu feras une formation lĂ  dessus peut ĂȘtre que ta vision changera , je ne sais pas $😒 ? En tout cas il ne faut quand mĂȘme pas ĂȘtre trop poire lĂ  dessus , le "gamin " en question me semble avoir assez de rĂ©fĂ©rences pour se questionner lĂ  dessus, tu ne crois pas ?Anonymous1422911, le 1/26/2011 Faudrait faire une formation sur le mobbing, toi !!!! Tu m'as au moins appris quelque chose .Je ne connaissais pas , mais google m'a tout dit .Je me demande si c'est la mĂȘme chose .je connais quand mĂȘme assez bien le milieu scolaire . Le jour oĂč tu feras une formation lĂ  dessus peut ĂȘtre que ta vision changera , je ne sais pas $😒 ? Une formation sur le milieu scolaire tu veux dire ??? $😧 $😧 En tout cas il ne faut quand mĂȘme pas ĂȘtre trop poire lĂ  dessus , le "gamin " en question me semble avoir assez de rĂ©fĂ©rences pour se questionner lĂ  dessus, tu ne crois pas ?Anonymous1408945, le 1/26/2011Tout Ă  fait d'accord pour qu'il se remette en question, c'est d'ailleurs ce qu'il fait mais je souhaiterais vraiment recentrer la discussion sur ce qui m'amĂšne ici Quelle est la façon la plus efficace pour communiquer avec des personnes qui pratiquent l'intimidation, s'assoie sur les rĂ©glements et "montent des dossiers" contre vous? Montrer les dents aussi ou courber l'Ă©chine? SVP aidez moi dans ce sens et n'essayez pas de lancer le dĂ©bat sur "est-ce qu'il l'a mĂ©ritĂ© ou pas?". Des tĂ©moignages seraient les le 2/3/2011je n'ai pas tout lu. tu peux peut etre essayer la communication non violente,cela dĂ©samorce beaucoup de conflits et tout le monde apprend. c'est assez efficace,ceci dit parfois il faut se mettre en retrait,on ne peut pas toujours tout changer,quand les gens prennent un bouc Ă©missaire pour rĂ©gler leurs propres problĂšmes parfois le mieux est de partir,ou de se rebeller mais cela demande de la force le 1/26/2011oui, je suis d'accord avec toi et je pense que ça lui servira de leçon pour l'avenir. Mais quelle leçon au fond... Que ses droits Ă©lĂ©mentaires peuvent ĂȘtre bafouĂ©s impunĂ©ment sous prĂ©texte qu'il n'a pas compris assez vite que dans certains groupes l'Ă©cole, l'entreprise,... il vallait mieux aller dans le sens du vent, savoir s'attirer la sympathie de ses membres les plus nuisibles, aboyer avec la meute et que c'est la loi du plus fort qui prime... Ben oui, ça il a compris c'est sur! Vous savez ça me fait penser Ă  une rĂ©flexion que j'entend souvent quand on parle de femmes battues mais il avait peut-ĂȘtre de bonnes raison pour la battre ou elle l'avait quand mĂȘme un peu cherchĂ©. Il n'y a aucune bonne raison pour battre une femme comme il n'y en a aucune pour vouloir nuire volontairement Ă  un Ă©lĂšve. Je ne suis absolument pas contre les sanctions mais on ne gagne pas le respect des Ă©lĂšves en ne respectant pas leurs droits fondamentaux. Il n'y a que 10 ans que l'Ă©ducation nationale a inclus les rĂšgles fondamentales du droit dans ses rĂ©glements intĂ©rieurs et les profs voient encore ça avec un mauvais oeil... Il n'y a aucun danger Ă  se montrer stricte quand on est juste, rien Ă  craindre si on est Ă©quitable. Vous avez nĂ©anmoins raison, il doit s'interroger sur son comportement et ce qui a pu pousser ces personnes Ă  le prendre en grippe Ă  ce point lĂ . Surtout prendre conscience de l'importance de la communication non verbale regard surtout mais pour l'instant il se sent surtout en danger au lycĂ©e car si il se trouve dans un rayon de 50m oĂč s'est passĂ© une infraction, c'est pour sa pomme accusation sans tĂ©moin ou preuve juste par intuition que ce doit ĂȘtre lui. C'est complĂštement irrĂ©aliste ce qui se passe et avec la passive complicitĂ© du reste du groupe. Je reviens Ă  mon sujet je dois montrer les dents ou courber l'Ă©chine? Une femme battue n'a peut-ĂȘtre rien fait c'est bien sur le cas le plus frĂ©quent,mais elle peut se poser la question de pourquoi elle va vers ce genre d'homme quand mĂȘme . Votre fils peut se demander pourquoi lui, pourquoi il rentre en rĂ©sonance avec ce genre de personnage . A 18 ans dĂ©jĂ  , a -t-il encore besoin de sa mĂšre pour se protĂ©ger ? ,Ă  18 ans , donc ,je pense qu'on est assez grand pour prendre du recul .. Ce dans quoi il se retrouve ce n'est pas du qu' Ă  la pathologie plus ou moins avĂ©rĂ©e de ce prof et du proviseur, c'est aussi du quand mĂȘme au fait qu'il s'y est mis , sans doute inconsciemment .Bien Ă  vous12345...9
Lagrippe peut entrainer des complications graves chez les 65 ans et plus, les femmes enceintes et les personnes atteintes d’une maladie chronique. Parlez-en Ă  un professionnel de santĂ©. CETTE ANNÉE ENCORE, LA GRIPPE VA FAIRE TRÈS MAL.
Hiver Par Jean-Guillaume Bayard En raison des mesures restrictives pour lutter contre la Covid-19, l’hiver 2019-2020 a Ă©tĂ© quasiment blanc en termes d’infections grippales. Ce qui fait naĂźtre des craintes pour la prochaine pĂ©riode hivernale alors que l’immunitĂ© naturelle se trouve rĂ©duite. monstArrr_/iStock PubliĂ© le Ă  09h00 L'ESSENTIEL Un expert de santĂ© britannique craint que l'Ă©pidĂ©mie de grippe ne soit pire que celle de Covid cet hiver. Une immunitĂ© naturelle plus faible contre la grippe pourrait entraĂźner davantage d'infections et des maladies plus graves. Une Ă©tude est en cours pour Ă©tuder la combinaison du vaccin contre la Covid et contre la grippe. Les vagues d’épidĂ©mies n’en finissent plus d’inquiĂ©ter. En plus du variant Delta qui constitue une menace mondiale de reprise Ă©pidĂ©mique de Covid-19, la prochaine pĂ©riode hivernale promet d’ĂȘtre celle de fortes infections grippales. La saison quasiment blanche qui a prĂ©cĂ©dĂ©, en raison des mesures sanitaires restrictives, n’est pas vraiment une bonne nouvelle. La baisse drastique du nombre de cas a considĂ©rablement rĂ©duit l’immunitĂ© naturelle faisant craindre un prochain Ă©pisode virulent. Cet hiver, l’épidĂ©mie de grippe sera plus grave que celle de la Covid ? Un expert de santĂ© britannique, le professeur Anthony Harnden, vice-prĂ©sident du ComitĂ© mixte sur la vaccination et l'immunisation, a rĂ©cemment lancĂ© l’alerte la grippe pourrait ĂȘtre plus dangereuse que la Covid cet hiver. “Je soulignerai qu'en fait, la grippe pourrait ĂȘtre potentiellement un problĂšme plus important cet hiver que le Covid. Nous avons eu une prĂ©valence de grippe trĂšs, trĂšs faible au cours des derniĂšres annĂ©es, en particulier pratiquement nulle pendant le confinement. Nous savons que lorsque la grippe circule en trĂšs faible nombre, l'immunitĂ© diminue dans la population et qu'elle revient encore plus agressive. Donc, la grippe peut ĂȘtre vraiment, vraiment importante cet hiver”, a-t-il affirmĂ© Ă  l’émission Today de BBC Radio 4. La grippe est une maladie relativement courante mais qui peut ĂȘtre grave, voire mortelle, chez les jeunes enfants, les personnes ĂągĂ©es et les adultes souffrant de maladies chroniques. Or, chaque annĂ©e, entre 20 et 30% de la population verrait son immunitĂ© naturelle renforcĂ©e et stimulĂ©e par une exposition aux virus de la grippe. Ce qui ne sera pas le cas cette annĂ©e du fait de l’absence de circulation du virus. Cette absence d'exposition aux derniĂšres souches de grippe pourrait donc rendre la population plus vulnĂ©rable au virus lorsque celui-ci reviendra, quelle qu’en soit sa forme. Cette diminution de l'immunitĂ© naturelle est prĂ©occupante pour de nombreux experts de la grippe car une immunitĂ© naturelle plus faible pourrait entraĂźner davantage d'infections et des maladies plus graves. L’interrogation vaccinale La question du vaccin contre la grippe se pose Ă©galement. D’abord parce qu’il va falloir Ă©valuer la gravitĂ© des souches de grippe en circulation dans le monde et choisir lesquelles intĂ©grer dans le vaccin de l'annĂ©e. Avec la baisse du nombre de cas de grippe et de souches de virus en circulation au cours de cette annĂ©e quasi blanche, la tĂąche des experts pour le choix des souches Ă  mettre dans le vaccin est rendue encore plus compliquĂ©e. Il est difficile d’évaluer le potentiel de gravitĂ© d’une souche sur un aussi petit nombre de cas pour prĂ©dire quelles nouvelles souches circuleront en 2021-2022. Ensuite, parce qu’il ne faut pas que l’administration du vaccin contre la grippe et la Covid soit incompatible. Une Ă©tude menĂ©e actuellement cherche Ă  savoir si les vaccins contre la grippe et ceux contre la Covid peuvent ĂȘtre administrĂ©s en mĂȘme temps. L'absence de grippe prĂ©sente nĂ©anmoins un aspect potentiellement positif. Avec la diminution du nombre de cas, il est aussi possible que le virus n'ait pas eu autant d'occasions pour Ă©voluer. Cette diminution potentielle des mutations pourrait ĂȘtre associĂ©e Ă  une plus grande efficacitĂ© des vaccins. D5DiFo.
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