ChoisirErasmus+. Les étudiants peuvent séjourner à l’étranger, en Europe comme à l’international. Ils peuvent participer au programme Erasmus+, quel que soit la discipline, le cycle d’études ou le diplôme préparé. Ce séjour est reconnu pour obtenir le diplôme préparé en France.
La France compte plusieurs milliers d’associations humanitaires et caritatives. Aide aux Sans Domicile Fixe, aux migrants, aux malades, soutien aux victimes de guerres et de catastrophes naturelles… Les champs de d’action ne manquent malheureusement pas. Si l’activité est en progression constante, le nombre d’emplois n’augmente pas pour autant faute de moyens, les organisme préfèrent faire appel aux bénévoles et aux volontaires. Ces derniers représentent 80% des effectifs du secteur. Même les grandes ONG françaises n’emploient qu’un nombre réduit de salariés Médecins du monde, par exemple, compte 24 salariés sur le terrain contre 430 personnes ayant le statut de volontaire. Devant le besoin accru de solidarité internationale, les ONG se sont multipliées et leur rôle n’a jamais été aussi primordial. Face à cette effervescence, le besoin de formation s’est avéré nécessaire. C’est ainsi qu’en France, les offres de formations aux métiers de l’humanitaire n’ont cessé de s’accroitre depuis une vingtaine d’années. Dispenser par les écoles de deuxième cycle ou les Universités, les jeunes étudiants souhaitant s’investir dans l’aide internationale peuvent désormais jouir d’une formation dite professionnalisante ». Mais cela est-il réellement le cas ? Ces formations sont-elles adaptées aux besoins des ONG ? En 2007, l’ONISEP déclarait dans sont étude lors du recrutement, c’est souvent l’expérience qui fait la différence’. Nous avons voulu savoir si cinq ans après c’était toujours le cas. Entre rêve académique et réalité professionnelle Il n’existe pas moins de trente cinq cursus formant aux métiers de l’humanitaire en Franceque ce soit par le biais des Universités, des Instituts ou des Ecoles. Les Ecoles préparent à des métiers spécifiques tels que logisticien ou coordinateur de mission. Les universités quant à elles, proposent deux types de cursus soit niveau bac+ 2, soit niveau bac+5 visant a donner des compétences aux étudiants pour les métiers d’administrateur ou de gestionnaire de projet. Les débouchés de ces cursus concernent aussi bien l’Etat et ses différents services publics, le secteur associatif, les ONG, les Fondations, les structures publiques, nationales et locales de la coopération internationale de la France, les agences européennes et internationales ainsi que celle de coopération de l’Union européenne. Tout ceci semble donc très attractif pour un étudiant plein de bonne volonté voulant œuvrer pour la bonne marche du monde ». Une question se pose néanmoins. Où vont les étudiants tout droit sortis de ces nouveaux cursus ? Les promesses faites à ces jeunes diplômés sont-elles en adéquation avec les réalités du monde professionnel ? Une étude réalisée montre deux éléments d’importance. Premièrement, les étudiants sortant de formation universitaire de type bac+5 ne trouvent pas, pour la grande majorité d’entre eux, d’emploi dans le secteur humanitaire. Deuxièmement, on observe qu’en fonction de la réputation du centre formateur, certains jeunes diplômés s’en sorte mieux que d’autres. En effet, l’étude du profil universitaire d’individus de 35 ans en moyenne et travaillant dans une ONG est sans équivoque. La majeure partie d’entre eux sort d’écoles de commerce, d’un Institut d’Etude Politiques IEP ou encore d’une formation médicale. Viennent ensuite les cursus de Droit et de Relations Internationales, et seulement après en dernière position les formations spécifiques consacrées å l’humanitaire, qu’elles soient de nature universitaires ou faites dans des Ecoles. Par ailleurs, on s’aperçoit que les personnes ayant effectuées ces formations humanitaires å l’université ont souvent cumulé cette formation avec d’autres cursus notamment du Droit dans 50% des cas. Autrement dit, suivre une formation humanitaire à l’université a valeur de complément quand elle est de niveau bac+5. C’est ce que confirme un témoignage d’une jeune étudiante de l’université de Paris I inscrite en Master professionnel Sciences Politiques Spécialité Coopération Internationales, Action humanitaires et Politiques de Développement. Elle confessait que, déjà munie d’un diplôme en Droit, cette formation avait pour but de parfaire son parcours universitaire. Place au désenchantement les formations universitaire à la dérive Nous avons découvert que les formations humanitaires ne sont pas efficace en terme d’employabilité alors qu’elles regroupent idéalement un apprentissage théorique et pratique. Dans le même temps, il s’avère que les parcours dit mixtes », ciblés » et professionnel de terrain présentent en chacun d’eux un type de parcours prometteur dans ce secteur. En effet, les formations mixtes’ dispensées dans les Ecoles de formation humanitaire fonctionnent très bien si on en croit les données chiffrées publiées sur leurs siteswebrespectif. Prenons l’exemple de Bioforce. Cet Institut se démarque en jouant la carte parcours mixte’ et répond, à travers la spécificité de son programme, à la question suivante comment concilier engagement humanitaire et nécessité d’acquérir un métier reconnu par le monde de l’entreprise ? Nous allons évoquer ici l’innovation Bioforce », et plus particulièrement de la formation intitulée Chargés des services généraux, option logistique humanitaire ». Durant cette formation, d’une durée de 3 ans, les élèves alternent entre cours et missions dans différentes ONG en partenariat avec Bioforce. A l’issue de la formation, les chiffres parlent deux étude des promotions 2004 à 2006 a montré que la proportion d’élèves partis en mission à la fin de leur formation était très élevée logisticien 80 %, administrateur 80 %, gestion de projet 91 %, technicien en Eau 92 %. Le taux de placement de ces derniers s’élevait globalement à 86%. De manière générale ce sont ces parcours-là qui fonctionnent bien lorsqu’ils sont proposés par les Ecoles. Mais pourquoi les parcours mixtes universitaire ne fonctionnent pas de la même manière alors que le même schéma de formation semble être adopté? La réponse se trouve peut-être dans le fait que la formation Bioforce dure trois fois plus longtemps que celle d’un Master 2. Une deuxième explication pourrait être celle selon laquelle les formations proposées dans les Ecoles ne sont pas complémentaires’ à d’autre cursus mais constituent bel et bien une formation à part entière. Par ailleurs, un autre avantage proposé par cet institut est à souligner, c’est celui de la double vocation’. Cette double vocation permettrait de facilité l’insertion professionnelle du fait d’avoir une double casquette et donc de posséder une capacité à se diversifier, chose qu’une année en Master 2 ne peut pas prétendre délivrer. Cela dit, cela n’explique pas les résultats d’une autre enquête traduisant le fait que sur 50 personnes travaillant dans une ONG, 70% d’entre eux étaient déjà partis en mission humanitaire avant de devenir salariés. Sachant que chaque élève poursuivant une formation humanitaire dans les universités que nous avons observé dans cette étude possède cette expérience de terrain, ils ne devraient pas, à priori, rencontrer de difficulté lors de recrutement dans le secteur concerné. Par ailleurs, il a été démontré, lors du recrutement professionnel, que l’expérience de terrain et la volonté de l’engagement étaient largement valorisés par rapport à un diplôme universitaire de type Master 2 humanitaire. Toutefois, à en croire les résultats de notre enquête sur le taux de placement dans une ONG des élèves sortant de formations humanitaires, une seule expérience ne serait pas considérée comme suffisante. En conséquence, les formations de type master 2, seraient considérées inadaptées en terme de formation et n’auraient donc pas lieu de perdurer telle qu’elles sont définies aujourd’hui. Si la majorité des personnes travaillant dans le secteur humanitaire ne dispose pas de formation universitaire, que ce soit via une Ecole ou une université, la question de la nécessite d’un diplôme dans ce domaine se pose avec acuité. Si les parcours ciblés sont une des clés de la réussite, il faut s’interroger sur la perrenité des formations académiques dans ce secteur, et la désillusion qui peut en résulter. La plus-value des formations ciblées Quant on parle de formation ciblée, cela concerne les métiers de type médecins et infirmiers. Environ 2000 volontaires français partent chaque année en mission à l’étranger et les profils médicaux sont encore les plus recherchés. Viennent ensuite les logisticiens, qui représentent par exemple un quart des départs chez Action contre la faim. Les associations recrutent également des experts, ingénieurs agronomes et hydrauliciens en particulier, capables d’apporter une expertise dans les missions de développement. Enfin, elles recherchent des généralistes école de commerce, IEP pour faire de la coordination sur le terrain, gérer les projets et encadrer les équipes. Ce sont donc bien des métiers précis que les ONG recherchent. En effet, si on prend l’exemple de MSF, elle présente une fiche de métiers dont elle a particulièrement besoin, ce qui cible la demande. Les métiers paramédicaux sont les plus demandés. Puis, les métiers purement médicaux tels que les médecins et spécialistes. Enfin, les non-médicaux comme les logisticiens, ingénieurs, gestionnaires approvisionnement, constructeurs etc. et les administrateurs ayant des diplômes supérieurs en Gestion, Sciences économiques, Comptabilité et Audit financier, gestionnaires de Ressources Humaines etc. Donc, on s’aperçoit que 67% des profils que MSF recherche sont des profils du domaine médical, chose paraissant normale pour une ONG se nommant Médecin Sans Frontières. Mais surtout, ce qu’il y a de frappant, c’est que les métiers recherchés par cette ONG, ne font pas partis des métiers que les cursus universitaires tendent à pourvoir. On observe donc un problème de coordination, voire d’adéquation, entre les besoins réels des ONG et ce que proposent les cursus académiques. L’humanitaire victime de son succès » 700 candidats sont venus de tous les horizons pour 80 places dans nos trois masters autour de ces thèmes », explique Marie-José Domestici-Met, d’Aix-Marseille-III. La demande grandissante provoquant un manque de place dans les formations préexistantes et la nécessité de formation demandée par les ONG elles même, ont poussé, à juste titre, la création de formation académique dans ce domaine. Cependant, la période où il y avait des débouchés concrets dans ce secteur est révolue à ce jour. Cela s’explique notamment par le manque de postes à pourvoir dans les ONG car si les ONG ont globalement augmenté leur nombre de salariés, s’est opéré dans le même temps un accroissement considérable du nombre de diplômes en la matière, provoquant un surplus de mal diplômés». Par ailleurs, l’Etat pourrait-il est partiellement responsable de ce phénomène? Olivier Benquet, responsable du recrutement à Action contre la Faim, explique On veut des professionnels.» Plutôt des professionnels de la logistique, de l’agronomie, de l’assainissement d’eau, de la sante – infirmières, médecins… L’idéal, c’est d’avoir appris un métier à travers une formation classique, et d’avoir reçu son baptême du feu sur le terrain comme volontaire ». Mais alors pourquoi a-t-on créé tant de cursus uniquement spécialisés dans l’humanitaire? S’il fallait des professionnels, il ne fallait pas pour autant créer un surplus de mal-diplômés’ dans ce secteur. Alors maintenant que faire ? Réinventons la formation humanitaire » Même si les résultats montrent que le taux d’employabilité de ces jeunes diplômes est quasi nul, il n’en reste pas moins nécessaire de ne pas abandonner l’idée de formations compétentes en la matière. De grandes responsabilités reposent sur les ONG et dans le secteur humanitaire en général. Si le besoin de personnes formées est réel, il faut alors créer des formations adaptées à ces besoins. C’est justement pour y répondre, qu’il est primordial de sauvegarder ces formations aux métiers de l’humanitaire dans les universités, Ecoles et Instituts. Cependant, une réinvention ou une re-masterisation » de la formation est nécessaire. La professionnalisation est un des buts de l’enseignement supérieur et les formations en master proposées doivent de manière effective servir à l’insertion dans la vie active. L’une des première chose à faire serait peut être d’établir un suivi des élèves diplômés afin de savoir exactement quel taux de placement il en ressort. Cela permettrait d’évaluer les formations qui sont compétentes et celles qui ont besoin de soutien ou encore celles qui n’ont pas lieu d’être. Il faut donc introduire une notion qualitative au sein du tout » qualitatif actuel. Par ailleurs, on remarque qu’au Royaume-Uni, les élèves ont la possibilité d’intégrer une sorte d’option humanitaire dans les cursus de type management’, marketing’ etc. , sans pour autant avoir le besoin de créer un Master ou une licence spécifique aux ONG. Il semblerait que cette solution serait plus adaptée et qu’il faudrait peut être accentuer cette démarche sur le sol français. Ces éventuelles solutions n’auraient pas pour vocation la résolution problème du trop-plein de candidat voulant se former pour ensuite s’engager dans l’humanitaire mais cela pourrait permettre de résoudre le problème de la formation illusoire qu’offre certain cursus en France. En conclusion, il n’existe pas de cursus miracle » pour pouvoir travailler dans une ONG. Le tableau général que nous avons dressé montre que la formation délivrée dans les Masters humanitaires ne répond pas forcément aux attentes des ONG et des structures du domaine de la solidarité. Cela interroge donc sur la nécessité de poursuivre ces formations sous leur forme actuelle. La plus-value de compétences professionnelles concrètes, comme l’expérience préalable – en tant que bénévole –avec des ONG humanitaires, semblent donc surpasser l’intérêt de formations universitaires généralistes, peu axées sur le terrain et l’acquisition d’un métier ». La prolifération récente de ces formations ne semblent donc bénéficier ni aux étudiants, ni aux ONG. Une remise à plat paraît donc nécessaire. Bio Derniers articles Marine Gaignard est étudiante à l’université de Sheffield, en Angleterre, où elle fait un Master en Gouvernance et politiques publiques, spécialité Union Européenne
Prérequis En fonction de votre parcours d’études, vous pouvez intégrer le Mastère Marketing et relations internationales en 4ème ou 5ème année. Pour une entrée en 4ème année : Bac+3 (licence ou bachelor) validé en marketing / commerce / économie / achats / international / échanges internationaux.Si une majorité des professions peut effectivement s’exercer aussi bien en France qu’à l’étranger, certains jobs sont spécifiques au domaine de l’international. Par leur évocation du voyage, ces métiers sont particulièrement attirants. La seule dimension “mondiale”, intrinsèque à ces différentes professions, suffit parfois à séduire. Voici une liste non exhaustive de métiers spécifiques à l’ diplomateSi on devait synthétiser le rôle du diplomate, nous pourrions dire qu’il représente et défend son pays sur la scène internationale. Au sein d’une ambassade, d’une institution internationale ou de l’administration centrale, son rôle principal est de veiller à la protection des intérêts de l’État et des ressortissants français à l’étranger quand il travaille pour le gouvernement français, évidemment. Pour se lancer dans la diplomatie, on vous conseille d’avoir le sens de la Nation chevillé au corps sans quoi votre quotidien risquerait d’être long. En tant que diplomate, vous contribuerez à l’application de la politique étrangère et préserverez les intérêts de la Nation. Si les contraintes familiales sont particulièrement lourdes de par l’éloignement, quelques avantages non négligeables sont les bienvenus. C’est notamment le cas du réseau que vous vous constituez en tant que diplomate. Il est certainement l’un des plus ramifiés au monde. Le nombre d’ambassades françaises permet de découvrir une diversité de cultures incroyables. Le diplomate est amené à rencontrer les ambassadeurs, les ministres, des hauts fonctionnaires de l’État… Bref, de quoi parfaire son réseau à travers le devenir diplomate, un passage par le ministère des Affaires Étrangères est obligatoire. Un concours très prisé existe 6 à 8 postes seulement sont disponibles chaque année. Un autre concours de la fonction publique “catégorie A” permet d’entrer au ministère au poste de conseiller aux Affaires Étrangères. La plupart des candidats a étudié au sein d’un institut d’études politiques. Un “simple” master peut également vous offrir la possibilité de passer le concours. Quant au salaire, en tant que fonctionnaire, il varie selon le grade et l’échelon. Selon Studyrama, le conseiller négociateur oscille entre 30K€ et 45K€ brut par an. Le consul est rémunéré entre 35K€ et 55K€ par an. L’ambassadeur perçoit un salaire allant de 65K€ à 100K€ par aussi dans notre rubrique WorkersBientôt en congés ? Gare au burn-out pré-vacances !Le trésorier internationalC’est un fait une entreprise qui fait des affaires dans le monde entier a besoin d’un trésorier international pour gérer ses activités de trésorerie. Vous l’aurez compris, même si cette profession ne s’exerce pas forcément à l’étranger, la dimension internationale y est très forte. Son rôle principal est de surveiller et de maîtriser parfaitement les taux de change. Cette personne travaille en étroite collaboration avec le service comptable de l’entreprise dans l’objectif d’optimiser ses opérations financières sur le plan comptable. Sous la direction d’un directeur financier, il doit être capable d’ajuster les trésoreries des filiales étrangères de l’ toute logique, le trésorier international est au moins bilingue, certainement trilingue et peut-être même quadrilingue. Sa connaissance de son marché à l’étranger doit être parfaite. Dans une PME qui ne possède pas de service international à proprement parler, il est le garde fou de la bonne gérance des finances à l’étranger. Les compétences requises sont les suivantes la rigueur, l’organisation et la flexibilité. Notez qu’un esprit de négociateur saura faire la différence sur un tel poste. Une expérience de 3 à 5 ans en tant que trésorier sera nécessaire pour pouvoir accéder à un poste de trésorier international. Concernant le salaire, un poste à responsabilités comme celui-ci peut espérer démarrer entre 40K€ et 45 K€ brut par concierge d’hôtelVoici un métier qui fascine de par son côté mystérieux. Le concierge d’hôtel est la personne en charge de la réception des invités dans un hôtel de grand standing. Il travaille généralement dans des établissements hôteliers ayant au moins 4 ou 5 étoiles. Évidemment, son rôle ne s’arrête pas au simple fait d’accueillir les clients. Il a comme mission principale de veiller au bon déroulement de leur séjour. Le concierge d’hôtel doit donc être en mesure de les informer, de les conseiller et de répondre à toutes leurs demandes, aussi étranges rôle est d’une importance capitale dans un hôtel de luxe, car c’est lui qui coordonne les voituriers, les portiers, les bagagistes et toutes les autres personnes en charge de la gestion de l’accueil. Il doit assurer la “chaîne de l’accueil” d’une manière exemplaire. Il peut aussi être amené à contacter des prestataires extérieurs pour louer un véhicule à ses clients ou encore leur réserver des places à l’opéra. Puisque les grands palaces attirent généralement des personnes de différentes nationalités venues du monde entier, il doit être parfaitement bilingue français, anglais. Pour devenir concierge d’hôtel, il existe plusieurs formations adaptées la FPE Formation Professionnelle d’Établissement se déroule au lycée des métiers de l’hôtellerie et du tourisme d’Occitanie. Aussi, des formations d’apprenti concierge ou de concierge de grand hôtel sont dispensées par l’ICI l’Institut de Conciergerie Internationale. Enfin, l’Union nationale Les Clefs d’Or propose une formation pour endosser le rôle de concierge d’hôtel. Auparavant, les personnes voulant exercer ce métier se formaient sur le terrain et n’avaient pas la possibilité de réaliser des études spécialisées. Désormais c’est le cas, alors profitez-en ! Le salaire du concierge d’hôtel oscille entre 35K€ et 45K€ par an, sans compter sur la part variable des pourboires qu’il peut internationalEn tant que professionnel des achats, sa mission principale consiste à prospecter et à trouver des fournisseurs à l’étranger. Le quotidien de l’acheteur international est clairement différent de celui de l’acheteur au sens classique du terme. Impossible de se rendre chez chacun des fournisseurs pour tester et vérifier la qualité des produits. Les missions de prospection et de veille de l’acheteur international doivent donc être parfaitement maîtrisées. Son rôle consiste essentiellement à négocier les prix les plus justes et dans l’idéal les plus faibles, auprès de fournisseurs internationaux. L’acheteur international gère l’ensemble du processus d’achat, de la prospection à la réception des produits. Dans une entreprise, son rôle est déterminant car c’est lui qui est responsable de la qualité des achats effectués. Il doit donc bien sélectionner ses prestataires, vérifier leurs antécédents et choisir de se déplacer uniquement s’il a un doute. Dans ses recherches, il doit absolument prendre en compte la fiabilité de l’entreprise choisie pour s’assurer qu’elle sera capable de livrer les produits achetés à temps. Dans l’idéal, l’acheteur international doit être trilingue anglais, espagnol et français. Une chose est sûre il doit obligatoirement maîtriser l’anglais qui est la langue commune dans le monde du commerce. Pour cela, il est recommandé de pouvoir justifier un bon niveau d’anglais par le passage du TOEFL. Aussi, pour performer, l’acheteur international doit être au fait des dernières lois internationales en vigueur dans les pays avec lesquels il travaille. Pour accéder à ce métier, nous vous conseillons d’intégrer une école de commerce qui propose un cursus dédié au commerce international. Vous pourrez aussi profiter des échanges universitaires pour perfectionner vos compétences linguistiques. Concernant le salaire, l’acheteur international démarre environ entre 35K€ et 65K€ brut par responsable exportSon rôle est de contribuer à développer les ventes de son entreprise à l’étranger. Le responsable export est souvent spécialiste dans une zone géographique et dans une culture en particulier. Avec son équipe de commerciaux, c’est lui qui gère les dossiers d’export du début à la fin. Pour cela, il doit analyser les besoins des clients, leur faire des propositions commerciales et négocier des contrats pour exporter sa marchandise. Le responsable export doit avoir des compétences fortes en droit, notamment à propos des taxes douanières ou des méthodes de paiement qui se pratiquent à l’exportation. La fiscalité internationale et le droit du commerce n’ont aucun secret pour lui. C’est une évidence mais rappelons-le quand on décide de se lancer dans une telle carrière, il faut être prêt à voyager souvent. En effet, le responsable export doit se rendre chez ses clients et ces derniers sont forcément en dehors des frontières du pays dans lequel il travaille. Le sens du relationnel et la maîtrise de deux ou trois langues sont des compétences indispensables pour occuper un tel poste. Une école de commerce ou une université peuvent permettre d’acquérir le diplôme nécessaire pour devenir responsable export. Ici aussi le passage du TOEFL est fortement recommandé. Les premiers salaires du responsable export varient entre 35K€ et 40K€ par les métiers de l’international ont comme dénominateur commun le voyage. En effet, si vous souhaitez vous diriger vers un métier qui touche au domaine de l’international, vous aurez à effectuer de nombreux déplacements. Même si cela peut sembler être un avantage, c’est également synonyme d’éloignement. Il faut en avoir conscience avant de se lancer. C’est l’un des rares inconvénients parmi les nombreuses possibilités qu’offre le domaine de l’international. Enfin, contrairement à ce que l’on pourrait penser travailler dans ce domaine ne signifie pas forcément vivre à l’étranger. Votre bureau pourra très bien être en France et cela ne vous empêchera pas de travailler avec des entités Welcome to the Jungle sur Facebook pour recevoir chaque jour nos meilleurs articles dans votre timeline !Photo d’illustration by WTTJ Lesformations pour arriver à travailler dans les ressources humaines. Au delà des formations type bachelor, il existe des diplômes de niveau Bac +2 qui donnent accès à ce secteur. BTS gestion PME (petite et moyenne entreprise), qui est dispensé dans des écoles spécialisées publiques ou privées, ou bien dans des lycées. Envie de changer d’air après votre licence ? Vous pouvez, si vous le souhaitez, continuer votre cursus à l’étranger. Le quotidien allemand Die Zeit a répondu aux 6 questions essentielles pour ceux qui souhaitent effectuer ce type de formation. 1 – Comment trouver le master idéal ? Le journal recommande de se rendre sur le site de Master Études, qui recense de nombreux programmes universitaires sur tous les continents. Après avoir trouvé un programme intéressant, il est conseillé de s’adresser au service International de la fac sélectionnée. Cela permet d’obtenir des précisions, et de se faire des relations – notamment auprès des diplômés. 2 – De quoi a-t-on besoin pour s’inscrire ? Avant tout, il faut regarder avec attention la liste des documents à fournir à l’inscription. Certains établissements demandent une lettre de motivation, un essai, des recommandations de professeurs ou des certificats de langue. Parfois, une attestation de Sécurité sociale et des preuves de stabilité financière sont requises. 3 – Combien coûtent les études à l’étranger ? En général, les études à l’étranger dans une université publique coûtent plus cher qu’en France ou en Allemagne. En Italie par exemple, une année d’études coûte entre 750 et 3 000 euros. Aux États-Unis, il faut dans l’ensemble compter un minimum de 10 000 à 18 000 euros. Les montants exacts sont habituellement disponibles sur les sites des universités étrangères. 4 – Comment financer un master hors de France ? Selon les situations, les étudiants peuvent obtenir des bourses offertes aux Français qui partent étudier à l’étranger. Ils peuvent également demander un crédit étudiant. Die Zeit conseille de s’y prendre “au moins un an avant de partir”. Hors Union européenne, ceux qui souhaitent travailler pour payer leurs études doivent généralement avoir un visa de travail. 5 – Quelles différences y a-t-il avec l’enseignement français ? Certains pays n’ont pas les mêmes structures de cours qu’en France. Au Royaume-Uni par exemple, de nombreux masters se font en seulement un an. Les méthodes pédagogiques peuvent aussi varier. Avant le départ, mieux vaut s’assurer que la formation que vous suivrez à l’étranger est reconnue dans l’Hexagone. 6 – Dans quels pays a-t-on besoin d’un visa ? La plupart des pays hors Union européenne demandent aux étudiants français un visa d’études. Pour savoir comment obtenir ce visa, rendez-vous sur le site du ministère des Affaires étrangères français, dans la rubrique “Conseils aux voyageurs”. Les universités donnent aussi des indications utiles sur les démarches à effectuer. Lesalaire moyen dans le secteur du commerce international, en France, est environ de 27000 euros brut par an, soit 13,85 euros de l’heure pour un débutant. On peut y ajouter, en plus, des primes de résultat. Ce salaire se situe sur fourchette large, allant de 22800 euros brut pour les débutants, jusqu’à 57000 euros brut pour les plus SommaireAuxiliaire de puéricultureAssistante maternelleATSEM – Agent Territorial Spécialisé des Écoles MaternellesÉducateur de Jeunes Enfants EJEAnimateur périscolaireAccompagnant des Élèves en situation de handicap AESHProfesseur des écolesPsychologue de l’Éducation NationalePédopsychiatrePédiatreTrouver votre formation petite enfance L’enfance et la petite enfance sont des secteurs présentant de nombreuses opportunités de travail et d’évolution de carrière. Il existe une myriade de métiers, différents, mais complémentaires, liés à l’accompagnement d’enfants et accessibles à différents niveaux de formation. Vous souhaitez travailler avec des nourrissons ou des enfants ? Métier de la petite enfance, animation, enseignement ou médecine, voici 10 métiers pour travailler avec les enfants. Auxiliaire de puériculture En quoi consiste le métier d’auxiliaire de puériculture ? Ce métier avec les bébés s’exerce en maternité, crèche, halte-garderie ou école maternelle. Il consiste à accompagner des enfants âgés de 0 à 3 ans, de veiller à leur confort, et contribuer à leur développement par des jeux d’éveil et des activités adaptées. Quelle formation pour devenir auxiliaire de puériculture ? Le DEAP – Diplôme d’État d’Auxiliaire de Puériculture est obligatoire et accessible après la 3ᵉ. L’admission en école spécialisée se fait sur concours. La formation dure un an. Il est possible d’obtenir son diplôme par la Validation des Acquis de l’Expérience VAE. Formations disponibles Devenir Accompagnant Éducatif Petite Enfance AEPE À votre rythme, à domicileFinancement possible à 100% CAP Accompagnant Éducatif Petite Enfance AEPE Disponible en formation à distancePour étudiants, salariés en poste ou demandeurs d’emploi Devenir Auxiliaire de puériculture Où et quand vous voulezFinancement possible à 100% TOP formations en ligne Formation maquillageFormation création d’entrepriseFormation managementFormation marketing digitalFormation à la vente Formation à l’anglaisDevenir agent immobilierFormation à la diététiqueFormation informatiqueFormation décorationFormation bureautique Quel est le salaire moyen d’un auxiliaire de puériculture ? Un auxiliaire de puériculture en début de carrière gagne le SMIC, soit environ 1 521 €. Assistante maternelle En quoi consiste le métier d’assistante maternelle ? L’assistante maternelle, dite aussi “nourrice” ou “nounou”, accueille des enfants en bas âge à son domicile en l’absence des parents. Elle peut aussi intervenir en Maisons d’Assistantes Maternelles. Elle veille au confort, aux soins et à la sécurité des enfants sur les temps de garde. Elle les stimule et favorise leur éveil avec des jeux et activités. Quelle formation pour devenir assistante maternelle ? Ce métier avec les enfants nécessite un agrément délivré par la Protection Maternelle et Infantile PMI du département. Le Diplôme d’État d’Auxiliaire de Puériculture ou CAP AEPE – Accompagnant Éducatif Petite Enfance est vivement recommandé. À défaut, les candidats bénéficient d’une formation de 120 heures. Formations disponibles Préparation au concours pour devenir ATSEM À votre rythmeOù et quand vous voulezFinancement possible à 100% Formation pour devenir Assistant maternelle ATSEM Disponible en formation à distancePour étudiants, salariés en poste ou demandeurs d’emploiFinancement possible à 100% TOP formations en ligne Formation maquillageFormation création d’entrepriseFormation managementFormation marketing digitalFormation à la vente Formation à l’anglaisDevenir agent immobilierFormation à la diététiqueFormation informatiqueFormation décorationFormation bureautique Quel est le salaire moyen d’une assistante maternelle ? Le salaire de l’assistante maternelle est d’au moins 2,82 € brut/heure et par enfant accueilli. À cela s’ajoutent les indemnités journalières d’entretien, les indemnités kilométriques éventuelles et d’autres majorations. ATSEM – Agent Territorial Spécialisé des Écoles Maternelles En quoi consiste le métier d’ATSEM ? Accompagner de jeunes enfants durant leur journée d’école. L’ATSEM peut travailler en crèche, en école maternelle publique ou en centre de loisir communal. Il veille à la sécurité et au confort des enfants, participe aux activités en collaboration avec l’enseignant et les animateurs périscolaires. Quelle formation pour devenir ATSEM ? Le CAP AEPE est requis pour travailler avec les enfants. Le recrutement des ATSEM se fait par concours externe, ou interne pour les fonctionnaires et agents des collectivités territoriales. Ces derniers doivent justifier d’une expérience professionnelle d’au moins 2 ans auprès de jeunes enfants. Un troisième concours est ouvert aux candidats ayant exercé un métier avec les enfants pendant au moins 4 ans. Formations disponibles Préparation au concours pour devenir ATSEM À votre rythmeOù et quand vous voulezFinancement possible à 100% Formation pour devenir Assistant maternelle ATSEM Disponible en formation à distancePour étudiants, salariés en poste ou demandeurs d’emploiFinancement possible à 100% TOP formations en ligne Formation maquillageFormation création d’entrepriseFormation managementFormation marketing digitalFormation à la vente Formation à l’anglaisDevenir agent immobilierFormation à la diététiqueFormation informatiqueFormation décorationFormation bureautique Quel est le salaire moyen d’un ATSEM ? Un ATSEM en début de carrière gagne le SMIC pour un temps plein. Éducateur de Jeunes Enfants EJE En quoi consiste le métier d’éducateur de jeunes enfants ? Travailler avec des enfants de moins 7 ans en tant qu’éducateur jeunes enfants, accueillis en crèche, halte-garderie, ludothèque, ou en établissement social et médico-social. Par l’intermédiaire de jeux, d’activités, et l’accompagnement au quotidien, l’EJE contribue à l’éveil, au développement des apprentissages et à la socialisation des enfants. Il est souvent amené à travailler avec les enfants handicapés. Quelle formation pour devenir éducateur de jeunes enfants ? La formation préparatoire au DEEJE – Diplôme d’État d’Éducateur de Jeunes Enfants dure 3 ans après le bac. L’entrée en école spécialisée se fait sur concours. Quel est le salaire moyen d’un éducateur de jeunes enfants ? Un EJE en début de carrière gagne le SMIC. Formation disponible Formation concours DEAES pour devenir AES Disponible en formation à distancePour étudiants, salariés en poste ou demandeurs d’emploiSans conditions de diplôme Formation pour devenir AES Disponible en formation à distancePour étudiants, salariés en poste ou demandeurs d’emploiSans conditions de diplôme TOP formations en ligne Formation maquillageFormation création d’entrepriseFormation managementFormation marketing digitalFormation à la vente Formation à l’anglaisDevenir agent immobilierFormation à la diététiqueFormation informatiqueFormation décorationFormation bureautique Animateur périscolaire En quoi consiste le métier d’animateur périscolaire ? Mettre en place et animer des activités manuelles, ludiques, sportives ou artistiques sur les temps périscolaires en écoles maternelles et primaires. Assurer l’accueil des enfants et des parents le matin, l’accompagnement des enfants lors des repas de midi, aider aux devoirs et accueillir les parents le soir après l’école. Quelle formation pour devenir animateur périscolaire ? Le BAFA – Brevet d’Aptitude aux Fonctions d’Animateur ou le Certificat de Qualification Professionnelle CQP d’Animateur Périscolaire. Quel est le salaire moyen d’un animateur périscolaire ? Les animateurs périscolaires travaillent souvent entre 15 et 20 heures par semaine. Le salaire moyen dans ce cas s’élève à environ 820 €/mois. Accompagnant des Élèves en situation de handicap AESH En quoi consiste le métier d’AESH ? L’AESH assiste un ou plusieurs enfants en situation de handicap sur les temps de classe. Il peut être mandaté à titre individuel AESH-i pour un élève ayant besoin d’un accompagnement soutenu. À titre mutualisé AESH-m, il peut assister plusieurs élèves. À titre collectif, il intervient auprès d’enfants orientés en Unités Localisées pour l’Inclusion Scolaire ULIS. Quelle formation pour devenir AESH ? Le Diplôme d’État d’Accompagnant Éducatif et Social DEAES spécialité “Accompagnement à l’éducation inclusive et à la vie ordinaire” est requis pour travailler avec les enfants handicapés en écoles. Quel est le salaire moyen d’un AESH ? Lors de son premier engagement en CDD, l’AESH touche le SMIC. Formation disponible Formation pour devenir AESH Disponible en formation à distancePour étudiants, salariés en poste ou demandeurs d’emploiSans conditions de diplôme TOP formations en ligne Formation maquillageFormation création d’entrepriseFormation managementFormation marketing digitalFormation à la vente Formation à l’anglaisDevenir agent immobilierFormation à la diététiqueFormation informatiqueFormation décorationFormation bureautique Professeur des écoles En quoi consiste le métier de professeur des écoles ? Enseigner à des élèves de la première section de maternelle au CM2. Le professeur des écoles apprend aux élèves à s’approprier les savoirs fondamentaux tels que la lecture, les mathématiques, l’histoire-géographie, etc. Il contribue à leur éveil et à la construction de leur capacité de réflexion. Quelle formation pour devenir professeur des écoles ? Pour devenir professeur des écoles, une Licence et un Master MEEF – Métiers de l’Enseignement, de l’Éducation et de la Formation sont nécessaires. En fin de première année de Master, le Concours académique de Recrutement des Professeurs des Écoles CRPE permet d’enseigner en école maternelle ou élémentaire. Ce concours est accessible aux titulaires d’autres Bac +5. Quel est le salaire moyen d’un professeur des écoles ? Environ 1 700 € en début de carrière et 2 640 € en fin de carrière. Les enseignants en Zone d’Éducation Prioritaire ZEP, les surveillances d’études, heures supplémentaires donnent droit à un régime indemnitaire complémentaire. Il en va de même pour un professeur assumant aussi la fonction de directeur. Psychologue de l’Éducation Nationale En quoi consiste le métier de psychologue de l’Éducation Nationale ? Ce métier avec les enfants fusionne ceux de psychologue scolaire, conseiller d’orientation-psychologue et directeur de Centre d’Information et d’Orientation CIO. Il consiste à accompagner les élèves dans leur parcours de réussite scolaire en travaillant leur projet d’orientation et en prévenant les risques d’échec scolaire. Le psychologue de l’Éducation Nationale exerce auprès d’écoliers, de collégiens, de lycéens ou d’étudiants. Quelle formation pour devenir psychologue de l’Éducation Nationale ? Un cursus complet en psychologie Licence suivie d’un Master avec spécialité “Éducation, développement et apprentissages”, ou “Éducation, développement et conseil en orientation scolaire et professionnelle”. Les recrutements se font par concours externe ou interne. Quel est le salaire moyen d’un psychologue de l’Éducation Nationale ? Environ 2 034 € en début de carrière et 4 588 € brut en fin de carrière, à quoi s’ajoutent des indemnités annuelles. Pédopsychiatre En quoi consiste le métier de pédopsychiatre ? Le pédopsychiatre est un médecin spécialisé en psychiatrie infantile. Il peut travailler avec les enfants à l’hôpital, en Centre Médico-psychologique CMP, en Centre Médico-Psychopédagogique CMPP ou en cabinet privé. Il diagnostique et traite les troubles ou maladies psychiatriques chez l’enfant troubles du comportement alimentaire, dépression, hyperactivité, autisme, etc. Quelle formation pour devenir pédopsychiatre ? Le cursus complet des études de médecine suivi d’une spécialisation en pédopsychiatrie. Un Diplôme d’Études Spécialisées DES en psychiatrie ou DES pédiatrie, ou Diplôme d’Études Spécialisées Complémentaires DESC de psychiatrie de l’enfant ou de l’adolescent est requis. Quel est le salaire moyen d’un pédopsychiatre ? Entre 3 000 € et 6 200 € brut par mois pour un pédopsychiatre de la Fonction Publique Hospitalière. 5 500 € en moyenne pour un pédopsychiatre libéral. Pédiatre En quoi consiste le métier de pédiatre Ce métier avec les bébés s’exerce dès la naissance de l’enfant en maternité. Le pédiatre est un spécialiste de la médecine pour enfants. Il contrôle l’état de santé général du nourrisson et dépiste d’éventuelles anomalies. En cabinet, il procède aux vaccinations, diagnostique et traite les maladies infantiles, les pathologies moins courantes et les cas d’infirmité. Quelle formation pour devenir pédiatre ? Le parcours universitaire de médecine dans sa totalité. Après la 6e année de médecine, le Diplôme d’Études Spécialisées DES est requis. Quel est le salaire moyen d’un pédiatre ? Jusqu’à 5 000 € brut mensuel pour un pédiatre en hôpital ou en clinique. Le salaire du pédiatre en cabinet libéral dépend de sa localisation. Trouver votre formation petite enfance Formation disponible Formation pour travailler avec les enfants Disponible en formation à distancePour étudiants, salariés en poste ou demandeurs d’emploiSans conditions de diplôme TOP formations en ligne Formation maquillageFormation création d’entrepriseFormation managementFormation marketing digitalFormation à la vente Formation à l’anglaisDevenir agent immobilierFormation à la diététiqueFormation informatiqueFormation décorationFormation bureautique Maisil arrive souvent que, désirant étudier dans une faculté aussi prisée, les gens ne sachent même pas qui ils vont devenir après leurs études. Finition de la spécialité "Relations internationales", avec qui travailler - ils ne l’inventent pas. Les qualités nécessaires Afin de maximiser vos chances de décrocher un métier dans une ambassade, il faut posséder certaines qualités. En premier, il faut parler au moins deux langues, voire trois. Vous devez également avoir une grande capacité de communication et une bonne présentation. Il est bon de savoir que la communication ne se limite pas au verbal. En effet, le gestuel et le regard comptent également. Le relationnel est pareillement important. La personne doit savoir respecter les traditions et les façons de faire de son pays d’accueil. Représenter un pays n’est pas facile. Le métier nécessite donc une personne réaliste et capable de prendre des responsabilités. Il exige également une personne réactive et autonome. Il doit en conséquence savoir prendre les bonnes décisions au bon moment. Il faut également une grande capacité d’adaptation. Le travailleur doit apprendre à s’adapter rapidement à son environnement de travail. Cette adaptation n’est pas seulement au niveau culturel et linguistique, elle se fait également au niveau psychologique. Les métiers dans les ambassades requièrent également des personnes en bonne santé. En effet, il est primordial d’avoir une bonne condition physique pour pouvoir s’adapter au milieu et au climat étranger. Il doit être ainsi apte à voyager fréquemment. Quelle formation pour travailler dans une ambassade Pour intégrer un poste dans une ambassade, il faut réussir un concours. Il existe deux types de concours. Il y a, le concours de cadre général. Il concerne la culture générale, sur différents sujets, dont l’histoire, les finances publiques, les relations internationales… Il y a également le concours orient. Il se porte sur la culture générale et les langues étrangères. Différentes formations peuvent aider à passer ces concours. La première option est de passer une licence MD, langue et civilisations étrangères ou langue étrangère appliquée. En un effet, un minimum de bac +3 est requis pour certains postes, par exemple le poste de conseiller. Vous pouvez également intégrer un institut d’études politiques après un bac général. Les salaires envisageables Les grilles de salaires dans une ambassade varient selon l’expérience et selon les postes. Mais il existe quand même des références. Ainsi, pour un conseiller par exemple, le salaire annuel est de 45 000 à 100 000 euros par an. Pour un ambassadeur, il tourne autour de 50 000 à 100 000 euros par an. De la sorte, en début de carrière, la rémunération moyenne varie entre 1500 à 3 500 euros par mois. Les employés des ambassades bénéficient également de différentes indemnités. hCPK.